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Ma vie avec moi...
5 octobre 2012

Mes films de Septembre

Bon, j'ai décidé de rééquilibrer mon barème, puisque je ne noterai probablement plus jamais au-dessus de 14.

Les films corrects passent donc de 8 à 10.

* * *

Dragon Sword – Téléfilm de Tom REEVE - 2004
J'ai évolué au fils des mois : maintenant, quand un film ne me plait pas, j'arrive à ne pas aller jusqu'au bout, à ne pas insister, à ne pas forcément croire qu'il peut y avoir un revirement total à un moment ou à un autre. Voilà.
?/20

Hélène Grimaud : Jouer avec les loups – Documentaire de Christine CAMPESTRE - 2004
Une femme véritablement fascinante et une artiste passionnante. Le doc n'est pas à la hauteur.
7/20

Juno – Jason REITMAN - 2007
Elle est carrément excellente cette petite Juno. Très belle petite chronique décalée.
11/20

Columbo 55 : Meurtre en deux temps – Téléfilm de Walter GRAUMAN - 1990
Un épisode intéressant, car le meurtrier de la séquence d'ouverture n'est pas le meurtrier. Enfin...
8/20

*Contre-enquête – Franck MANCUSO – 2006
Je l'avais déjà vu, mais j'avais complètement oublié le dénouement, et c'est un super twist. Sans doute le meilleur ( le twist ) des thrillers français de la décennie. Et un bon film d'ailleurs.
10/20

Le Prince du Pacifique – Alain CORNEAU – 2000
Fût un temps où Corneau faisait de bons films, des polars bien noirs. Mais c'était il y a très longtemps. Pénible. Pas drôle. Tout ça pour aller se la dorer au soleil pendant deux mois, bravo la conception du cinéma. En tout cas ce sera sans moi. Tenu vingt minutes à peine.
1/20

Incident au Loch Ness – Documentaire de Zak PENN - 2004
Un reportage-fiction sur le tournage d'un documentaire imaginaire de Werner Herzog, qui s'essaie au bout de trente ans au registre comique. Le plus drôle étant qu'ils sont persuadés qu'on ne voit rien alors que c'est hyper écrit, on ne marche à aucun moment. Tout est grossi et plus on avance, moins c'est du documentaire, et plus on a le sentiment qu'ils se foutent de notre gueule. On n'est pas loin de ce qu'avait fait Orson Welles en la matière, mais en moins prétentieux. Un exercice de style amusant.
6/20

*Le Coeur des hommes 2 – Markez POSITO ( pour les connaisseurs ) – 2007
Ca m'énerve ces films basiques où ça transpire le bonheur, même si tout le monde fronce les sourcils et se complique la vie avec des conneries - le tout dans un Paris ensoleillé de carte postale, alors que moi j'adore Paris sous la pluie et que je ne pourrais jamais y vivre. Donc je suis bassement et bêtement jaloux de ses vies que j'envie, je veux avoir des enfants qui ont de mauvaises notes à l'école, des filles qui ont des petits copains, que ma femme me trompe et divorcer moi aussi, bordel de merde !!! Saloperie de film qui pue la bonne humeur, l'amour et l'amitié, le tout dans une sorte d'insouciance tranquille, avec toutes les deux minutes une chanson bien chiante chantée par une chanteuse, pour bien nous dire quelle émotion il faut ressentir. Ca m'énerve. Mais sinon c'est sympa. L'occasion de revoir des actrices trop rares, comme Valérie Stroh, Valérie Kaprisky, Fabienne Babe, Catherine Wilkening, Ludmila Mikaël.
8/20

Fargas : La Loi du sang – Téléfilm de Charlotte BRÄNDSTRÖM - 2003
Bon, je découvre cette série policière à la française, donc pas flamboyante. Un Nestor Burma actuel, si j'ai bien compris. Même si l'autre l'était devenu également... bref.
6/20

Fargas : Meurtre sans intention - Téléfilm de Didier DELAÎTRE - 2004
Plaisant de croiser la petite Eglantine Rembauville, que je trouve jolie, dans le rôle de la joyeuse voleuse.
6/20

Fargas : Comme un chien - Téléfilm de Didier Le PECHEUR - 2005
Un scénario bien fichu. Et le plaisir de retrouver Estelle Skornik, qui semble n'avoir pas vieilli d'une semaine en quinze ans. Toujours ce même visage d'ange et cette douceur infinie. Le rôle lui convient parfaitement.
8/20

L'Antichambre - Pièce de Jean-Claude BRISVILLE – 2008
Une pièce bavarde, comme j'aime, avec Sarah Biasini ( très grimaçante et criarde, puisque c'est du théâtre ), Danièle Lebrun ( excellente en femme hautaine et méprisante ), et l'éternel Roger Dumas, qui n'aura pas fait que composer des génériques de dessins animés avec Jean-Jacques Debout dans sa vie. Par contre, je ne suis pas certain d'avoir été totalement emballé.
8/20
« La Bible, un excellent roman. Il est regrettable que le personnage principal soit si peu plausible »

Gainsbourg ( Vie héroïque ) - Joann SFAR – 2010
Bon, moi les biopics ça me gave sévère. Le plus souvent, je n'arrive même pas à aller au bout, mais là ça allait encore à peu près, il y a un décalage, de la poésie. Pourtant je ne suis pas fan non plus de Sfar. Alors ça se regarde, une fois, et c'est tout. Belle petite apparition d'Anna Mouglalis en Juliette Gréco.
Bonnes idées ( oui, je vais essayer de retenir quelques autres petites choses que les actrices et les bons mots maintenant ) : la « Gueule », son double qui l'accompagne au fil des années. Le père qui meurt au piano après avoir chanté « J'ai rendez-vous avec vous »
6/20 ( parce que c'est la note maxi des films à ne voir qu'une seule fois )

Columbo 64 : Columbo change de peau - Téléfilm de Vincent McEVEETY - 1994
Episode particulier avec photos puzzle. Et, fait étonnant : on ignore qui est le meurtrier jusqu'à la fin.
6/20

Braquage en famille – Téléfilm de Pierre BOUTRON – 2008
Un bon petit téléfilm familial, avec Julia Molkhou, et un super rôle pour Michel Aumont. J'aurais bien vu ça comme un pilote de série.
8/20

Deux en un – Bobby & Peter FARRELLY – 2003
Des blagues potaches et débiles, dont certaines sont drôles.
Les bonnes idées : la scène hilarante avec le frère caché dans le nounours, et la scène en prison, rigolote.
7/20

Obsession mortelle ( Fear ) – James FOLEY – 1998
Un peu factice et attendu, mais soit.
7/20

Aller-retour dans la journée – Téléfilm de Pierre SISSER - 2006
Arditi et sa mère Line Renaud qui se retrouvent pour une journée. Ca passe sans grands efforts.
6/20

Mes deux amours – Téléfilm de Régis MUSSET – 2011
Je dessinais en même temps, j'avoue que je ne m'en souviens plus trop. Passable aussi.
6/20

Enfermés dehors – Albert DUPONTEL – 2005
Ca commence comme du Jeunet ( cadrages, plongées, mouvements de caméra, zooms, couleur sépia, musique ). Ensuite, ça devient lourdingue, et j'ai rarement vu un film aussi pénible. Frappadingue.
2/20

Les Petits meurtres d'Agatha Christie 11 : Le Couteau sur la nuque – Téléfilm de Renaud BERTRAND - 2011
Pas follement passionnant, puisqu'on connait le meurtrier, et qu'on devine la meurtrière également très vite. Mais ça reste plaisant.
8/20

Sleepers – Barry LEVINSON – 1996
Un film ambitieux - ce qui est d'ailleurs étonnant de la part de ce bon vieux Levinson, dont on ne retiendra sans doute que « Rain Man » - qui a convoqué pour l'occasion la fine fleur masculine maison, Hoffman bien sûr, mais aussi De Niro, Pitt, et un peu de Bacon. Un film un poil long, puisque divisé en trois parties, bancales d'ailleurs. Un film immoral, où tout ce petit monde va disculper deux criminels. Mais l'intérêt est bien évidemment ailleurs, dans la vengeance d'enfants meurtris qui se jouent de la justice, puisque ce sont le procureur et le journaliste qui se vengent de leur tortionnaire en libérant leurs amis. On est loin de « Il était une fois l'Amérique » ou de « Mystic River », mais c'est correct. Faut pas être trop exigeant avec Barry. A noter que la partition de John Williams est très belle.
8/20
« Je ne savais pas que vous aimiez autant les pigeons – Moi j'aime tout ce qui sait fermer sa gueule »

Bienvenue à Monte Carlo – Thomas BEZUCHA - 2011
L'héroïne se prénomme Grace, et à un moment sa meilleure amie regarde « La Main au collet ». On est donc dans une sorte d'hommage assez explicite. Hautement mineur, mais rafraichissant, et plaisant.
8/20

Le Séminaire – Charles NEMES - 2008
Légèrement mieux que le précédent film, qui était particulièrement lourdingue. Mais comme j'ai vu « Enfermés dehors » il y a peu, tous les films semblent réussis en comparaison.
4/20

Boys and Girls – Robert ISCOVE – 2000
Une pâle copie de « Quand Harry rencontre Sally » ( les différentes séquences au fil des ans, le temps que l'amitié devienne amour ), mais façon teen-movie ( « American Pie » est passé par là, et son comédien aussi ), et non romance pleine de charme. Après, je ne sais pas si c'est Claire Forlani, pourtant charmante, ou son personnage, mais quelque chose fait qu'on ne tombe pas amoureux, ce qui est un peu embêtant pour une comédie romantique. Encore un film tout naze dont Stewart Copeland a signé la musique.
6/20

X-Files : Régénération – Chris CARTER - 2008
Je crois n'avoir jamais vu un seul épisode de cette série. Et apparemment, si on n'a pas eu la chance extrême de la suivre, on ne capte pas grand chose aux personnages. En tout cas, je n'ai rien vu de bien surnaturel ou de science-fictionnesque dans tout cela. C'est tout au plus un thriller de seconde zone tout pourri. Mais les ambiances froides et enneigées du nord ouest américain, j'adore.
5/20

Five Fingers - Laurence MALKIN - 2006
On comprend tout le stratagème assez vite. En espionnage, il faut être un brin plus perspicace. Le petit « héros » est donc un crétin. Et les méchants ne sont pas ceux qu'on pense. A la fin, j'ai cru qu'il avait compris l'entourloupe ( quand on lui ordonne d'écrire le nom de ses complices ) et qu'on aurait un renversement de situation intéressant, mais non. Un tout petit film.
6/20

L'Enlèvement – Pieter Jan BRUGGE – 2004
Un petit thriller « forestier » pas bien convaincant. Willem Dafoe est plutôt bon dans son rôle de petit malfrat un peu gauche. Mais pour le reste, bah justement il ne reste pas grand chose.
6/20

Les Regrets – Cédric KAHN – 2009
Un vrai film avec des sentiments, et même des sentiments forts et passionnels. Deux êtres qui ne peuvent pas faire autrement que de s'aimer, et qui se déchirent mutuellement. On sent l'influence de Truffaut et Sautet, même si on n'atteint pas le niveau de ces derniers. Dans le rôle de la femme, je trouve Valeria Bruni-Tedeschi un peu lointaine et froide. J'aurais plutôt vu une Géraldine Pailhas, une Nade Dieu, une Marie-Josée Croze, encore mieux : une Anna Mouglalis, une actrice plus vibrante quoi. Mais si le rôle est écrit ainsi, elle n'y est pour rien. Et puis elle a de très beaux seins. De belles retrouvailles sentimentales.
11/20

L'Homme de ses rêves – Téléfilm de Christophe DOUCHAND - 2012
Laure Marsac a donc très bien vieilli, comme je l'avais déjà constaté dans un précédent téléfilm, et Thierry Godard se voit enfin confier un rôle différent, plus léger, moins torturé. Comme on n'a pas fini de le croiser, j'espère qu'il renouvellera l'expérience des petites comédies ou des petites bluettes sans prétention, comme ici.
7/20

Le Prix à payer – Alexandra LECLERE - 2007
Une comédie un peu pathétique. Et pas si drôle que cela d'ailleurs, malgré quelques bonnes petites répliques. Un Guitry eût fait un petit bijou de ce sujet, mais là, je me demande si ce n'est pas le machisme et le sexisme qui l'emportent. Comme d'habitude, Géraldine Pailhas est sublime.
6/20
« Ma femme aussi a un don pour l'écriture : elle remplit très bien les chèques »
« Je paie la moitié du loyer, nous ferons donc l'amour seulement trois fois par semaine »

*La Faille – Gregory HOBLIT – 2007
Un thriller très bien foutu. Un scénario habile et malin. Une belle réalisation, une belle musique. Nonobstant, rien de bien extraordinaire, mais un film réussi. Et un rôle parfait de meurtrier cynique pour Hopkins.
Bon point : le scénario est suffisamment intelligent pour qu'on ne sache pas vraiment où l'on va, quel sera le dénouement, pour tenir en haleine alors qu'on connaît le meurtrier depuis la première minute.
10/20
« J'ai essayé de vous prévenir – Non, vous m'avez mis en garde contre son intelligence, pas contre votre bêtise »

L'Innocent – Téléfilm de Pierre BOUTRON – 2012
Je ne dirai jamais assez tout le bien que je pense de son « Affaire Dominici ». Ici, c'est l'affaire Grangier, et c'est pas mal, d'autant que le personnage permet d'orienter l'ensemble vers la comédie.
Bon point : le fait que le policier qui cherche à l'inculper finisse par l'innocenter.
8/20

Munich 1972 – Téléfilm de Dror ZAHAVI – 2007
Pas bien suivi, mais c'était mieux que le Spielberg.
7/20

Vertige - Abel FERRY - 2008
Ah bah oui, c'est sûr que ça porte bien son titre. Du moins au début. Le tournage a dû être délicat, et franchement c'est du bon travail de réal. Puis tous les ingrédients du suspens et du frisson sont de sortie. Bon, alors au bout d'un moment ça se fait buter à tour de rôle ( oui, parce que dans les films d'horreur les gens ne savent jamais qu'il ne faut pas se séparer ), et ça gueule dans tous les sens. Inévitablement. Mais qu'est-ce qu'elle est craquante Fanny Valette quand même.
8/20

Honey - Billy WOODRUFF - 2003
Des gangstas et des danseuses. Oui, bon, faudrait songer à varier un peu maintenant...
6/20

*Les Petits meurtres d'Agatha Christie : Je ne suis pas coupable – Eric WORETH - 2010
Déjà vu il y a quelques semaines. J'avais oublié de mentionner Lou de Laâge, mignonnette.
7/20
« Ma femme et moi avons été heureux pendant vingt cinq ans... et puis nous nous sommes rencontrés » ( Sacha Guitry )
« On ne souhaite pas bonne chance à un comédien qui va rentrer sur scène, on lui dit « merde »... mais qu'est-ce qui vous prend Lampion ? - Merde ! » ( c'est marrant non ? )

Le Cavalier de l'aube – Téléfilm de Terry MILES - 2012
Pas trop suivi, je dessinais, mais a priori c'était pas mal. Il semble que ce soit le remake du film du même nom.
7/20

Sex List - Mark MYLOD - 2011
Une comédie romantique qui aurait pu être charmante. Mais l'héroïne est une cruche, et l'actrice n'a aucun charme ( une blonde sophistiquée à gros seins, pas du tout mon truc ).
7/20

The Ghost Writer – Roman POLANSKI – 2009
Un petit thriller, bien réalisé ( on passe sur les incrustations, montages photo, etc ), mais qui ne captive pas vraiment. Tout le long, j'ai attendu le moment où l'intrigue démarrerait, et en fait, bah ça ne démarre jamais. Tout cela est très improbable ( monsieur découvre sur internet que le professeur était à la CIA, mais personne n'aurait fait le lien avec la femme du premier ministre, dont il est un ami, c'est quoi cette trame à deux balles ? ), très attendu, sans parler de la scène finale. Un Polanski moyen, qui apparemment avait très envie de refaire une ambiance à « La Jeune fille et la Mort », et ça ça m'a plu, mais avec un scénar solide c'eût été préférable. Sur un autre plan, comme toujours, très belle musique d'Alexandre Desplat.
9/20

Castle – Saison 4, épisodes 1 à 5 + épisodes épars
La nouvelle saison commence sans aborder l'histoire de la mère de Kate, donc en fait je m'ennuie un peu pendant les épisodes.
7/20
« Le refus, ce n'est pas l'échec. L'échec, c'est d'abandonner »

*Un Village français – Série de Philippe TRIBOIT, Frédéric KRIVINE et Emmanuel DAUCE - 2009-2010
Revu les deux premières saisons pour entamer la quatrième, quand j'aurai revu la troisième.
9/20
« Je suis un imbécile – Non, vous êtes un homme sincère – Oui bah en ce moment c'est la même chose »
« Dans d'autres circonstances, je vous aurais sans doute tué. Mais, un maire tuant un policier, ce sont des débordements que l'on ne peut pas se permettre »
« Il reste de la place dans le caveau, il sera à côté de maman – La mort fait des miracles »

* * *

Histoire d'un amour (Back Street) – David MILLER – 1961
Déjà vu, ou le film dont il est le remake, je ne sais plus. En tout cas, c'est du mélodrame en béton armé. Trop sirupeux pour moi.
6/20
« Il faut qu'une fille soit folle pour ne pas tomber amoureuse de vous – Très juste ! Si vous appelez le pasteur, j'embauche le psychiatre »

Le Vengeur agit au crépuscule (Decision at Sundown) – Budd BOETTICHER – 1957
J'ai un problème avec les westerns : souvent, je m'endors devant, ou alors je zappe assez vite, je me mets à ma table à dessin, et je ne suis plus trop.
?/20

L'Aventurier du Texas (Buchanan rides alone) – Budd BOETTICHER – 1958
Je ne sais plus
?/20

Le Relai de l'or maudit (Hangman's Knot) – Roy HUGGINS – 1952
Un bon petit western avec la belle Donna Reed.
8/20

La Mission du Capitaine Benson (7th Cavalry) – Joseph H. LEWIS – 1956
Un bon petit western dans lequel Randolph Scott doit aller récupérer les cadavres des soldats de Custer en territoire indien.
8/20

Comanche Station – Budd BOETTICHER – 1960
Un bon western.
Bonne idée : les petites histoires semblables à leur situation que les deux ennemis inventent et se racontent pour se menacer, se prévenir.
Bonne idée : le fait que le petit jeune prenne conscience de ses erreurs et passe du mauvais côté au bon côté.
10/20
« Oh mon dieu c'est bête ce qu'on peut faire pour de l'argent » dit-il en mourant

Soupçons – Alfred HITCHCOCK – 1941
Un film dont l'intérêt réside principalement dans le changement de registre : ça commence comme une comédie et ça tend de plus en plus vers le drame psychologique. L'emploi de Cary Grant, acteur comique par excellence, renforce encore l'ambiguïté. Joan Fontaine est parfaite également, avec un jeu de sourcils subtilement féminin, même si selon moi ça ne méritait pas l'Oscar pour autant. C'est un peu dommage d'avoir toutes les résolutions dans un dialogue final d'une minute. Mais on sent qu'on sort de l'espionnage pour aller vers les grands Hitchcock psychologiques à venir.
10/20

Mauvaise Graine – Billy WILDER - 1934
J'ignorais que Wilder avait tourné un film en France. Je n'ai vu que la fin, mais ça n'avait rien de passionnant.
2/20

Les Gaietés de l'Escadron – Maurice TOURNEUR – 1932
Un film ennuyeux avec Gabin, Fernandel et Raimu.
2/20

L'Homme de l'Arizona (The Tall T) – Budd BOETTICHER - 1957
Un petit western tout à fait honorable, comme souvent avec Boetticher. Ce sera mon John Ford de substitution, puisque je n'aime quasiment aucun western de Ford ( hormis le chef d'oeuvre « L'Homme qui tua Liberty Valance » ).
9/20

Dix Hommes à abattre (Ten Wanted Men) – Bruce HUMBERSTONE - 1955
Pleins de coups de feu et plein de morts, mais pas de fumée, pas une goutte de sang, pas le moindre trou dans les vêtements. Pas évident les effets spéciaux.
7/20

*Columbo 7 : Attente – Téléfilm de Norman LLOYD - 1971
Bon, faudrait songer à diffuser des épisodes moins diffusés les gars...
8/20

Columbo 17 : Double choc – Téléfilm de Robert BUTLER - 1973
L'idée est bonne, mais elle m'en a donné surtout une autre : qu'un des frères tente de faire endosser le crime par son jumeau. C'eût été encore bien meilleur. En tout cas, c'est la première fois que l'on ne connait pas le meurtrier dès la première scène, puisqu'ils sont deux.
9/20

La Chevauchée de la Vengeance (Ride Lonesome) – Budd BOETTICHER – 1959
Il faisait vraiment de bons petits westerns le Boetticher. Et en plus celui-ci est très bien réalisé.
Bon point : la relation amicale avec le soi-disant rival, qui veut refaire sa vie.
10/20

La Ville des sans-loi (Badman's Territory) – Tim WHELAN – 1946
Je ne sais plus
?/20

Columbo 18 : Divine mais dangereuse – Téléfilm de Jeannot SWARC – 1973
Un petit épisode sans grand intérêt. Comme tout ce qu'a fait Jeannot Swarc, finalement.
6/20

Le Garçon aux cheveux verts – Joseph LOSEY – 1949
Oui, c'est mignon. Je ne comprends pas vraiment les motivations et les réactions du petit garçon, mais soit.
8/20

La Vallée maudite (Gunfighters) – George WAGGNER – 1947
J'espère que le dialoguiste a été engagé pour écrire dans « Amour, gloire et beauté ». Un petit western mal fichu, trop biscornu, mal écrit, mal réalisé. Et ces dialogues sentimentaux, c'est à se tordre. J'ai peine à croire que les habitants du Texas dissertassent de la sorte.
5/20

*Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) – Billy WILDER - 1959
Un classique. Que dire ? Ca fourmille de drôleries, et c'est un brin romantique ( l'idée est géniale d'ailleurs : l'amant sait exactement comment la charmer puisqu'il est aussi sa confidente ), et je ne sais pas si vous êtes au courant mais l'actrice était plutôt mignonne. Donc rien ne marche, si on se place au niveau du réel, mais on est dans de la comédie pure, et ça fonctionne à plein.
10/20
« Ce qui compte, ce n'est pas d'attendre : c'est celle qu'on attend »

Les Aventuriers du désert (The Walking Hills) – John STURGES – 1949
Je crois que c'était pas mal.
?/20

Valse Royale – Jean GREMILLON – 1935
Avant de faire du cinéma, Grémillon avait étudié la musique, et ça se voit : on se croirait dans une opérette. C'est donc un vieux film vieillot qui a terriblement vieilli.
4/20

Columbo : Le Mystère de la chambre forte – Téléfilm de James FROWLEY - 1977
Un excellent épisode.
10/20

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