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Ma vie avec moi...
1 janvier 2014

Mes films de Décembre

Au-delà – Clint EASTWOOD – 2010
L'histoire américaine est tendre et jolie. Elle me parle beaucoup, d'autant que le ( trop court ) personnage féminin me rappelle des personnes aimées. Le reste m'a semblé un peu superficiel, mais la fin offre une belle idée, qui aurait pu intervenir plus tôt, ou amener plus de force et de sentiments. Un film agréable cependant, loin de la déception dont j'avais eu vent lors de sa sortie.
9/20

Mariée à tout prix – Téléfilm de Ron OLIVER - 2008
Une comédie romantique qui encore une fois aurait pu se passer de son côté comédie idiote et lourdingue pour se concentrer sur l'aspect romantique. Surtout pour une histoire qui évoque la littérature et les grandes références du genre. Bon, ce n'est donc que mignon, mais raté.
6/20

Un Goût de Romance – Téléfilm de Lee ROSE - 2012
Petite romance guimauve qui commence avec tous les clichés du genre ( père veuf et entame de relation conflictuelle arrangée par sa fille ) et finit par distiller au fur et à mesure son petit charme. Comédienne, Teri Polo, très bien, tout comme la fillette.
8/20

La Rupture – Téléfilm de Laurent HEYNEMANN – 2013
Un bon téléfilm politique sur le duel Chirac/Giscard. De bons acteurs ( Girardot, Derangère, Cruveiller, une Géraldine Pailhas belle même en Marie-France Garaud, tout comme Estelle Skornik en Bernadette Chirac ), de bons dialogues. Bref, plaisant et de qualité.
8/20
« Il en rêve à chaque fois qu'il fait un cauchemar »

*Un Amour infini (Bounce) – Don ROOS – 2000
J'avais beaucoup aimé ce film la première fois, mais là je n'ai pas trop aimé. Déjà, il a très mal vieilli et ça transpire les années 90 de partout. Ensuite, même si l'idée est plutôt bonne, on ne rentre jamais vraiment dans l'histoire d'amour, qui est mal fagotée, qui commence sans commencer et finit sans finir. On ne peut d'ailleurs jamais s'identifier au personnage masculin, qui est d'abord arrogant, sûr de lui et puant, puis alcoolique et vulnérable, mais qui n'arrive pas à assumer qui il est vraiment. Et surtout, je n'ai pas du tout saisi les explications données une fois la vérité révélée sur son rôle de la mort du mari. Pour faire court, j'ai trouvé ça mal écrit, et le charme de la romance n'a pas opéré, malgré Gwyneth Paltrow. Meilleur dans mon souvenir, dont je n'avais plus aucun souvenir d'ailleurs.
6/20

L'Anglais qui gravit une colline et descendit une montagne – Christopher MONGER - 1995
Très bonne petite comédie d'atmosphère, à l'humour british décalé et ironique. C'est sûr qu'à l'époque j'avais dû trouver ça quelque peu ennuyeux, comme beaucoup, après « 4 mariages et 1 enterrement », mais on passe néanmoins un bon moment si on se laisse embarquer par le charme gallois.
8/20

Le Goût du partage – Téléfilm de Sandrine COHEN - 2013
Un bon petit téléfilm. C'est intelligent et plutôt bien écrit ( si on passe les ressorts dramatiques évitables : les complications inutiles de retour souhaité puis finalement une fois que c'est fait dans son dos il ne veut plus - et comme bien souvent des ellipses bien pratiques, bref ). Annelise Hesme, en plus d'être jolie, s'approprie le rôle à la perfection.
8/20

Paris, années folles : de Montmartre à Montparnasse - Documentaire de Fabien BEZIAT - 2013
Inutile de préciser que cette époque me passionne et que le doc était très bien. La colorisation permet de plonger encore davantage dans le réalisme des images d'archives, comme pour la série "Ils ont filmé la guerre en couleurs".
8/20

Jerry Lewis - Documentaire
Mm, bah je n'aime pas trop ses films, mais il a sans doute créé quelque chose de neuf et de différent, et puis il a vécu longtemps, c'est cool pour lui parce que les gens heureux méritent de vivre plus longtemps que les autres.
7/20

Des Racines et des Ailes : le Danube – Reportages - 2013
Intéressant. Enfin, sauf la partie sur Budapest. J'aimerais bien moi aussi passer un réveillon de Noël un jour sur ces bateaux au milieu de tous ces villages en fête. Ou faire le périple sur les bords du fleuve à vélo. Bref, voyager, plutôt que de me faire chier dans mon petit appart comme un con.
7/20

Salt – Phillip NOYCE – 201
On reconnaît bien la patte du réalisateur du « Fugitif » et de « Poursuite ». Par contre, contrairement aux films sus-cités, le scénario alambiqué en fait tellement des tonnes qu'on devine assez vite les rouages, et ça finit même par passer au dernier plan. Alors on décide de suivre l'action : on ne s'ennuie pas une seconde, les scènes et les rebondissements s'enchainent de manière effrénée, et c'est plutôt plaisant. Ce qui est marrant, c'est qu'il n'y a pas de fin. En fait, elle renvoie aux films sus-cités.
7/20

*Copland – James MANGOLD - 1997
Un des polars américains les plus intéressants de la décennie 90.
10/20

Les Complices – Téléfilm de Christian VINCENT – 2013
Bon bah c'est ps très gai tout ça. C'est même du glauque bien appuyé. La Marie Kremer un jour elle aura une deuxième émotion à son répertoire et ça fera du bien. Et le Christian Vincent un jour il refera de bons petits films à la Rohmer comme à ses débuts, ça nous fera du bien. Parce que là c'est peut-être une adaptation de Simenon, mais au final on n'a rien vu, rien appris. Froid comme la distance qui nous sépare du héros, et comme les paysages du nord enneigés qui auraient mérité un bien meilleur traitement.
5/20 ( où on découvre le vrai visage de la secrétaire des nouveaux « Petits meurtres d'Agatha Christie », Elodie Frenck, qui mérite de vrais grands rôles un jour prochain )

From Paris with love – Pierre MOREL – 2010
Quand la fille reçoit un coup de fil pour une certaine Rose, on voit bien qu'on est chez Besson. Ou pas loin. Kasia Smutniak, très belle actrice. Par contre, une fois qu'il a été obligé de tuer sa copine espionne, le mec n'a aucun regret, il est même trop content de jouer avec son nouveau copain le flingueur macho et musclé. Chacun son truc. C'est rythmé, ça se mate et ça s'oublie.
6/20

Spielberg on Spielberg – Documentaire de Richard SCHICKEL - 2007
Très intéressant. Retour sur 40 ans de carrière, avec quelques chefs d'oeuvres à la clef, et en tout cas une belle leçon de cinéma, avec une rare humilité et gentillesse.
8/20

A corde tendue – Téléfilm de Pierre-Antoine HIROZ – 2013
Un bon petit téléfilm, surtout dans la première moitié, ça finit un peu plan-plan. Pénélope-Rose Lévèque est très mignonne et joue bien. J'espère qu'on la reverra dans de bons trucs.
7/20

Ghosts of Mars – John CARPENTER – 2001
Tiens, la strip-teaseuse de Blade Runner, Joanna Cassidy. Elle aura donc joué dans un bon film dans sa vie ( deux avec "Under Fire" ). Sinon... bah c'est de la grosse merde. J'ai tenu vingt minutes, et pourtant je ne regardais quasiment pas.
1/20

Hollywoo - Frédéric BERTHE & Pascal SERIEIS - 2011
Tiens je ne savais pas qu'ils avaient fait ça eux. Bon eh bien il y a donc du pur Foresti, on aime ou on n'aime pas, moi j'aime bien. Mais, dans un autre registre. Là, comme toujours dans ce genre d'entreprise, on a vingt bonnes minutes d'exposition amusante, et ensuite on se fait un peu grave chier.
5/20
« Quand tu seras dans les bras de Pete tu m'enverras des photos »

Pink Floyd, Behind the Wall – Documentaire de Sonia ANDERSON - 2011
Intéressant. Je connaissais peu ou pas du tout leurs débuts dans le swinging London.
7/20

Un Crime dans la tête (The Mandchourian candidate) – Jonathan DEMME - 2004
Denzel Wahsington a toujours bien géré sa carrière et ses choix je trouve. Je serais bien tenté de voir l'original de Frankenheimer en 1962.
8/20

Témoin gênant – David BARRETT - 2012
Un action-movie un poil naze. Rosario Dawson a moins bien géré sa carrière, elle.
5/20

Philibert – Sylvain FUSEE - 2011
Tenu dix minutes. Vu sans regarder. Pas rentré dans le degré humoristique de la chose. Aucun intérêt.
2/20

Brassens, la mauvaise réputation – Téléfilm de Gérard MARX – 2013
Comme je n'ai jamais été fan de Brassens, je trouve ça un peu chiant. C'est vrai qu'il aurait dû devenir écrivain, ça m'aurait semblé plus judicieux.
3/20

L'Enquête, The International – Tom TYKWER – 2009
Rien pigé. Ambitieux. Et, comme le dit le titre, on voyage.
8/20
« C'est la différence entre la vérité et la fiction : la fiction doit être logique »

W, l'improbable président – Oliver STONE – 2008
Oliver Stone qui nous fait une comédie sur cet empaffé de George Deubeuliou, ça c'est plutôt inattendu, mais c'est amusant. En fait, présenté comme ça, c'est Colin Powell le seul qui a un peu une conscience et essaie d'éviter le conflit en Irak. Et si Junior veut absolument y aller, c'est par souci de plaire à son père et d'aller jusqu'au bout de ce qu'il avait commencé en 1991 avec la Guerre du Golfe. Le tout saupoudré de niaiseries religieuses et d'état d'esprit de domination du monde. En fait le personnage est simple et amusant, un grand enfant perdu, mais là on a vraiment affaire à un attardé mental. Je ne sais pas quel est le titre original, mais plus qu'improbable je pense que c'est incapable qui est dénoncé/démontré dans cette oeuvre.
7/20

Mireille Darc, blessures intimes – Documentaire
Tiens, je ne savais pas qu'elle était brune.
6/20

Limitless – Neil BURGER – 2010
Une bonne surprise. Je ne m'attendais à rien de particulier, et il s'avère que c'est un film très ambitieux, et plutôt intéressant. Le scénario part d'une bonne idée, le problème étant qu'elle pourrait être davantage exploitée, et sur d'autres aspects que la finance. Il y a plusieurs petites pistes ébauchées au début qui sont totalement délaissées par la suite et je trouve ça dommage, ça m'aurait davantage parlé : son roman, son histoire d'amour, sa faculté à analyser son interlocuteur et à comprendre en une fraction de seconde quoi dire et quoi faire. Là, les intrigues avec De Niro m'ont éloigné du truc, et au final il n'y a plus de surprise. Le côté sevrage et dangerosité de la pilule est totalement écarté. Même chose avec le mec qui le suit. Bref, l'idée était excellente, mais le film n'arrive malheureusement pas à en tirer le meilleur. La réalisation quant à elle n'hésite pas à tenter des expérimentations, et ça passe plutôt bien. La dualité entre les tons gris lorsqu'il est normal et les couleurs éclatantes lorsqu'il a sa conscience décuplée est bien soulignée. Mais il y a surtout quelques petits plans renversés qui m'ont plu. Un bon moment. Dommage que le film ne soit pas à la hauteur de ses ambitions. Une bonne note d'encouragement.
9/20

Personnel et confidentiel – Jon AVNET – 1996
Ca transpire les années 90. Dans ce qu'elles ont de pire, cinématographiquement. Le couple Redford Pfeiffer est tentant, et non dénué de charme, mais le rendez-vous est loupé. Le film jongle avec divers registres sans jamais les creuser, et donc rien ne fonctionne. C'est génial, lorsqu'elle est seule avec son caméraman dans la prison, il y a des plans de coupe, un montage provenant de deux caméras différentes.
5/20

La Guerre d'Hollywood 1939-1945 – Documentaires de Michel VIOTTE - 201
On s'en doute, ça m'a fortement intéressé.
8/20

Agatha Christie – Documentaire
Intéressant.
6/20

Vérité oblige – Téléfilm de Claude-Michel ROME - 1998
Un petit épisode de cette série que je ne connaissais pas, avec Claire Keim. Et un autre. Le tout étant d'un intérêt proche de :
3/20

Une femme dans la Révolution – Téléfilm de Jean-Daniel VERHAEGHE – 2013
Ca commençait bien, puis je me suis ennuyé ferme, et j'ai à peine regardé le deuxième volet. Il faut dire que je suis loin de ma passionner pour cette période. Ne reste que Gaëlle Bona, excellente. Et Alex Lutz également, très bon dans un rôle très sombre.
5/20

A la maison pour Noël – Téléfilm de Christian MERRET-PALMAIR – 2011
Je crois que j'avais déjà essayé, et déjà abandonné.
?/20

Un jour un destin : Lino Ventura – Documentaire 2011
Un grand bonhomme. Pas un grand acteur, mais un vrai grand monsieur.
6/20
« J'ai peur de la mort, ou plutôt non, je n'ai pas peur de la mort : j'ai peur de ne plus vivre »

Twilight 2 : Tentation – Chris WEITZ – 2010
Ca devient un peu trop long et tortueux cette histoire. Pas certain que ça continue à me distraire. C'est en tout cas beaucoup moins romantique et teen-movie que le premier. Ca se noie un peu dans l'histoire avec le jeune indien, puis ça revient sur la première histoire avec le vampire. Un tour pour rien dirais-je. omme l'impression qu'il n'y a pas eu d'histoire dans ce deuxième volet. Hâte de voir quelles seront les impasses empruntées dans les films suivants.
6/20

Les Petits meurtres d'Agatha Christie : Pourquoi pas Martin ? - Téléfilm de Marc ANGELO - 2013
Pas trop suivi, mais ça semblait un poil mieux que les précédents.
?/20

Hunted - Susan MONTFORD – 2007
Un conte de Noël bien cruel. Il a bien changé le petit garçon de « Witness »...
4/20

La Plus belle vitrine de Noël – Téléfilm de Michael M. SCOTT - 2013
Une sympathique petite comédie romantique de Noël, au-dessus du lot de niaiseries habituelles, même s'il y a quelques poncifs inhérents au genre. Mais on évite quand même les personnages totalement loufoques, et les naïvetés enfantines. Sauf les vitrines idiotes. Un bon petit moment.
8/20
« Se chamailler est un moyen de se montrer de l'affection »

Les Amoureux de Noël (Christmas in Boston) – Téléfilm de Neil FEARNLEY – 2005
Très bonne trame de comédie romantique. Jolie comédienne, Marla Sokoloff. Beaux moments, bons dialogues, belles résolutions sans passer par toutes les complications habituelles. Ca nous change des couples ennemis ou des filles qui vont vers le mauvais mec. Dommage que le traitement soit aussi plat et la réalisation aussi creuse.
8/20

Tout... sauf en famille – Seth GORDON - 2008
Une comédie débile et grasse. En un mot : américaine. Tous les passages un peu adultes de fin de films n'en sonnent que plus faux.
5/20

La Chute de la Maison Blanche – Antoine FUQUA - 2013
Ca change des comédies de Noël...
5/20

Clueless – Amy HECKERLING - 1995
Alicia Silverstone était toute mimie ( elle ressemble à Olivia, une amie ). Et je crois que c'est tout. Il y a un petit ton insolent et un peu d'humour, mais vraiment en surface.
5/20

Enquêtes codées – Série britannique de Guy BURT, Saison 1 - 2012
C'était pas mal.
7/20

Castle – Saison 5 épisodes 8 à 12
Je commence à m'ennuyer systématiquement à chaque épisode. Saison très décevante.
6/20

Et d'autres téléfilms de Noël qui ne méritent pas vraiment de critiques

* * *

La Poursuite des Tuniques Bleues (A Time for Killing) – Phil KARLSON - 1967
Très bon rôle de méchant pour George Hamilton. Par contre le rôle de Glenn Ford est un peu léger, voire inconsistant, en tout cas sans charisme et sans force. Le film montre surtout la connerie des hommes prêts à se battre jusqu'au bout, pour le pur plaisir de tuer.
7/20
( Tiens, le deuxième film avec Inger Stevens en deux semaines – après « Les Cinq Hors-la-loi » )

Cow-Boy – Delmer DAVES – 1958
Une comédie western dans laquelle Jack Lemmon veut devenir garçon-vacher pour séduire sa belle. On a l'impression que le sujet n'intéresse pas Daves, à forte raison, et du coup la réalisation et l'intérêt s'en ressentent terriblement.
5/20

*Capitaine sans loi (Plymouth Adventure) - Clarence BROWN - 1952
L'histoire du Mayflower, avec Spencer Tracy et Gene Tierney. Un tout petit film d'aventures, en fait essentiellement psychologique, avec un tout petit drame romantique assez mou et bancal - un peu plus de passion et de déchirements eussent été de bon aloi. Mais c'est toujours un bonheur de voir cette magnifique actrice, la plus tristement belle de tous les temps. Il y a une « intégrale » ce mois-ci sur TCM : du coup je vais tous les revoir ( et en découvrir ), ce sera mon cadeau de Noël, je vais pouvoir tomber amoureux quelques heures... ça fait longtemps...
7/20
« Ainsi c'est vous la fille aux yeux si magnifiquement tristes »

La Main gauche du Seigneur – Edward DMYTRYK – 1955
Un drame romantique au fin fond des montagnes himalayennes. Technicolor, cinémascope, grands moyens, mais vide total. Malgré Gene Tierney.
6/20
Encore une phrase du genre « fille aux yeux magnifiquement tristes »

*Peur sur la ville – Henri VERNEUIL - 1975
Un film en deux parties, sur deux intrigues, ce qui donne du rythme, mais aussi un certain déséquilibre : d'abord l'histoire avec le braqueur, puis avec le tueur de femmes. Les poursuites sur les toits près des Nouvelles Galeries et l'Opéra, puis dans le métro vers Bir-Hakeim, sont gravées dans ma mémoire d'enfant. Tout comme le duo Belmondo-Denner, qui a marqué mon enfance avec « L'Héritier ». Mais la fin est ratée, c'est de l'esbroufe Bébel clinquante et inutile ( car c'est avec ce film réussi que Belmondo est devenu le Bébel des navets à venir ).
8/20

Le Retour de Frank James – Fritz LANG – 1940
J'avoue avoir un peu lâché l'histoire à un moment, mais c'était bien.
/20

Bonjour tristesse – Otto PREMINGER – 1958
D'un extrême à l'autre : un film joyeux, rythmé et coloré. Bonne idée de raconter le film en flash-back en couleurs et de montrer le temps présent dans les séquences parisiennes en noir et blanc. Dommage cependant qu'il n'y ait pas une plus grande place pour ces séquences, qui auraient divisé le film en deux ensembles semblables, parce que l'histoire sur la Côte d'Azur finit par lasser. Inutile de préciser que Jean Seberg était magnifique.
6/20

Jerry souffre-douleur – Jerry LEWIS – 1964
Difficile de tenir jusqu'au bout.
?/20

Le Grand Silence – Serge CORBUCCI - 1968
Un film en carton. C'est filmé, cadré, zoomé, monté avec les pieds. Ah la la, le zoom, il en aura causé des merdes dans les années 60/70 ( Un seul plan sympa : quand il la regarde s'éloigner à travers la fenêtre ). Quant à l'histoire, bah comme la réalisation me faisait mal à la tête, je n'ai pas eu trop envie de suivre. J'ai juste retenu que ça canardait un peu dans tous les sens et qu'au final Kinski ( on dirait Dave, le chanteur ) bute tout le monde. Dommage pour un western neigeux, ça aurait pu me plaire, et puis le rôle convient très bien à Trintignant, mais ce n'est qu'un gros navet. Pire : un film qui donne la nausée.
3/20

Colombo 27 : Réaction négative – Téléfilm de Alf JELLIN - 1974
Un scénario assez sommaire. Le dénouement est assez mauvais, le personnage pouvait tout simplement comparer la photo que lui montre Colombo avec celle qu'il a reçue. Ou alors, sans passer par cette problématique, Colombo pouvait lui faire remarquer qu'il ne peut savoir à quoi ressemble la pièce, puisqu'il n'y est a priori jamais rentré.
6/20

L'Egyptien – Michael CURTIZ – 1954
A aucun moment on ne comprend le héros. L'histoire avec la babylonienne est ridicule, et j'ai le sentiment qu'elle ne fait que plomber le milieu du film, ça n'apporte strictement rien. Assez difficile de suivre sa destinée, qu'il s'acharne à gâcher au maximum, en prenant à chaque fois la mauvaise décision, la mauvaise option. C'est dommage parce que le film regorge de bonnes choses, la réflexion sur le pouvoir, la vengeance, le destin, la croyance, l'amour, mais rien ne fonctionne jamais vraiment à plein, on n'est pas avec le héros, on le suit en sachant depuis le début qu'il est dans l'erreur. Alors il y a un peu de spectacle, c'est plutôt agréable à regarder, la trame générale est bien faite – le fait que deux amis partis de rien se retrouvent à lutter pour le sceptre du pharaon – mais c'est tout. Et pour un film aussi ambitieux, c'est peu.
Bon, et quel intérêt d'engager Gene Tierney pour lui faire jouer un si petit rôle ? Bon d'accord ça l'éloigne de ses rôles habituels ( encore que, on peut déceler dans son personnage une petite faille, comme le dit le héros « vous avez été forcée de devenir comme cela, moi je me suis construit mon abjection tout seul » ),  mais quand même : sur 2h15, on ne la voit en tout et pour tout que cinq petites minutes. Par contre Jean Simmons a un beau rôle, bien plus réussi que dans « Spartacus ».
8/20
« L'immortalité, je la tiens dans ma main : il n'y a que des grains de sable qui vivront éternellement »
« C'est mal de croire en trop de choses, mais c'est mal aussi de ne plus croire en rien »

Sous le ciel de Paris (coule la Seine) – Julien DUVIVIER – 1950
Endormi devant, mais à revoir.
?/20

Colombo 28 : Entre le crépuscule et l'aube – Téléfilm de Harvey HART - 1975
Patrick MacGoohan est parfait dans ce rôle de colonel.
7/20

L'Auberge du Sixième Bonheur – Mark ROBSON – 1958
Un beau film et un beau rôle pour Ingrid Bergman. J'imagine que « Les Orphelins de Huang-Shi » est un remake et que c'est tiré d'une histoire vraie, du coup.
9/20

Danseuse aux Follies Ziegfled (Ziegfled Girl) – H.Z. LEONARD – 1941
Un très beau film. Heureusement, il y a très peu de scènes de spectacle ( même si pour moi il y en a déjà trop et les retirer ne m'aurait pas dérangé outre mesure ), et le film est vraiment axé sur les personnages et leurs destinées, leurs relations, leur évolution, ce qui en fait plus un drame psychologique qu'une comédie musicale. Très belle fin émouvante avec Lana Turner ( son plus beau rôle ? ) et James Stewart ( dans un rôle humaniste qui se rapproche de ce qu'il faisait chez Capra ). Hedy Lamarr a un petit rôle romantique assez loin de ce qu'elle était et des personnages durs et froids que son physique lui destinait habituellement. Petit, parce que curieusement cette histoire a un début et une fin, mais tout ce qui aurait pu en être le coeur et l'essentiel est occulté, et c'est bien dommage. L'histoire avec Judy Garland et son père ne sert pas à grand chose non plus, mais en alternant entre chaque section le film gagne en rythme et en renouvellement.
10/20

La Charge des Tuniques bleues – Anthony MANN – 1956
Un bon petit western de fort.
9/20

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