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Ma vie avec moi...
7 décembre 2011

Mes films de Novembre

Puzzle – Kyle Dean JACKSON - 2005
Un scénario bien foutu, écrit en puzzle, effectivement. Un bon gros puzzle bien velu. Dommage que l'histoire du garçon survivant apparaisse aussi tard. Il y a aussi quelque chose qui ne me va pas avec Shannyn Sossamon : je ne sais pas si elle joue mal ou si son rôle est naze. Les deux peut-être. Mais comme elle est toujours aussi craquante, c'est autorisé. D'ailleurs, quand est-ce qu'on la revoit dans une comédie romantique ?
7/20
« Si on ne s'occupe pas de son passé, c'est lui qui s'occupera de nous »

Le Secret de Brokeback Mountain – Ang LEE – 2005
Euh. C'est sensible et bien réalisé. En fait d'histoire d'amour, j'ai plutôt l'impression de voir une « non-histoire d'amour », qui détruit deux couples. Bon, je dois être insensible parce que ça ne m'atteint pas trop.
7/20
« Je ne devais pas être rigolo tous les jours - Une femme ne tombe pas amoureuse d'un homme juste pour rigoler »

*Blue Velvet – David LYNCH – 1987
Je crois que même la première fois j'avais trouvé ça un peu surfait, toutes ces exagérations, cette galerie de personnages barjes, ces ambiances déjantées, tous ces effets qui sont devenus la recette lynchienne quoi. Pour moi on flirte surtout avec l'esbroufe, du joli papier peint formel pour masquer le vide. Parce qu'il faut quand même avouer que le fond du film est bien pauvre. Un petit thriller, donc, avec pléthore d'ingrédients pimentés pour tenter de relever le tout, mais la sauce ne prend pas chez moi. Seule Isabella Rossellini et son personnage sortent du lot.
7/20
« Il est bizarre ce monde, non ? » ( dernière phrase du film )

Les petits meurtres d'Agatha Christie, épisode 9 : Un Cadavre sur l'oreiller – Téléfilm d'Eric WORETH – 2011
Ca alors, je n'aurais jamais cru. Non, on devine qui est le meurtrier dès le début. On a vu plus réussi. Et le parallèle lourdingue maison close/terrain de golf, c'est moi ou quoi ?
5/20
« Il y a trop d'innocents dans cette affaire »

Les petits meurtres d'Agatha Christie, épisode 2 : Am Stram Gram – Téléfilm de Stéphane KAPPES – 2008
Je ne m'en souviens pas. Je sais juste qu'il y avait Lucie Lucas
?/20

Les Boeuf-Carottes : Haute voltige – Téléfilm de Claude-Michel ROME - 1999
Regardé sans regarder, parce que c'est vraiment pas utile. Julie du Page remplace Florence Geanty. C'est marrant, je l'aurais vue plusieurs fois ce mois-ci.
3/20

Hooking Up - Vincent SCORIDA - 2009
Affligeant
1/20

Ni vu, ni connu – Téléfilm de Christophe DOUCHAND - 2011
Distrayant cinq minutes. On est très loin de « Arrête-moi si tu peux »
5/20

Dans la peau d'une grande – Téléfilm de Pascal LAHMANI – 2010
Un bon rôle pour Claire Keim, une histoire mignonnette, un très petit rôle de mon ami comédien qui a oublié de lui demander son numéro de téléphone pour me le donner... C'est une petite comédie sans grand intérêt, mais ce n'est pas désagréable.
7/20

Incognito – Eric LAVEINE - 2010
Une comédie sympathique avec Bénabar et Dubosc ( et un ami du lycée devenu réalisateur, Arnauld Mercadier, figurant en paparazzo, « conseiller à la réalisation » )
7/20

Lorsque la guerre sera loin – Téléfilm d'Olivier SCHATZKY – 2009
Un bon petit téléfilm sur les gueules cassées de 14-18, pas plus captivant que cela. Mais Gaëlle Bona est toujours aussi mignonne. A quand de grands et beaux rôles ?
7/20

Le Monde à ses pieds – Téléfilm de Christian FAURE - 2011
L'évocation de la courte vie de la mannequine Ruslana Korshunova. Un beau premier rôle, pourtant pas évident, pour la présentatrice météo Solveig Rediger-Lizlow. Mais elle s'en sort haut la main, et c'est donc une réussite à ce niveau-là.
7/20

Une journée – Jacob BERGER – 2007
Un très beau film mélancolique. Doux et triste, sensible et émouvant. Les acteurs sont tous magnifiques, et l'ensemble sonne très vrai. J'ai beaucoup aimé. Peut-être même adoré.
12/20

Down in the Valley - David JACOBSON – 2005
Ca commence très bien. On s'identifie au héros, on ne comprend pas l'obstination du père à surprotéger sa fille de la sorte, on a envie qu'il les laisse vivre leur amour. Puis le film se met à mal tourner, le héros devient barje, et on se rend compte que le père avait sans doute raison, mais que c'est aussi et surtout de sa faute. Bon, j'aimais beaucoup la première partie, avec une histoire d'amour décalée, une belle ambiance, un ton différent, mais alors pas du tout la seconde. Et du coup c'est tout le film qui plonge.
7/20 ( la prometteuse Kat Dennings est toujours aussi prometteuse )

Requiem pour une tueuse – Jérôme LE GRIS - 2010
La tueuse et le flic sont censés être les meilleurs dans leurs disciplines respectives, mais on a surtout affaire à deux grosses baltringues. Euh, sinon il n'y a pas de guitare dans un orchestre symphonique, et encore moins aux premiers pupitres, juste devant le chef. Et j'ai comme l'impression qu'il y a confusion entre une Messe de Requiem et le « Messie » de Haendel, parce qu'avec un tel titre un vrai requiem semblait tout indiqué, mais bon. Bref, ce film n'est qu'un piètre prétexte avec un scénario de quatre sous, et c'est un peu dommage. Heureusement, Mélanie Laurent rayonne plus que jamais, alors je vais être généreux.
7/20

Incontrôlable – Tony SCOTT – 2010
Plus il fait des films le Tony, plus le rythme du montage s'accélère. Faudrait quand même lui dire de s'arrêter là, parce que plus ce serait vraiment trop.
7/20

Le Secret de l'Arche – Téléfilm de Tobias BAUMANN - 2011
Le bon vieux téléfilm tout pourri trop drôle à regarder tellement c'est naze. Vous savez, avec la jeune et jolie archéologue qui se retrouve face au mystère de la Création et qui t'explique ça tranquillement entre la poire et le fromage, le beau ténébreux mal rasé qui te séduit ça en deux coups de cuillère à pot, la société secrète avec sa clique de prêtres meurtriers, la pierre millénaire appelée « Oeil de Dieu », qui file la peste à ceux qui l'approchent, etc. Enfin, au bout d'un moment il va sans dire que j'ai un peu lâché prise, je n'ai donc pas pu apprécier toutes les subtilités du navet ésotérique. Vu pour la petite Julia Molkhou, que je connais sans connaître. Mais c'est vraiment plus que mauvais. Cerise sur le MacDo, ça finit comme un épisode de série américaine des années 70-80 sur une blague toute pourrie qui fait rire tout le monde comme des nigauds.
2/20

Kiss & Kill - Robert LUKETIC – 2010
Une petite comédie d'espionnage pastiche, avec la jolie bouille de Katherin Heigl.
6/20

Les Trois prochains jours – Paul HAGGIS – 2010
Le remake de « Pour elle ». Je n'ai pas encore vu l'original, mais j'ai bien aimé.
10/20

No Country for Old Men – Ethan & Joel COEN - 2007
Où l'on retrouve les frères Coen de « Fargo ». Réalisation soignée, ambiances parfaites, on est totalement dans le film, mais la fin est bizarre, on n'y est plus trop.
9/20

Simon Werner a disparu – Fabrice GOBERT – 2010
Un très bon premier film. Quatre versions éclatées, qui créent le lien entre elles et dévoilent par petites touches le noeud de l'intrigue ( si on peut parler d'intrigue, tant elle est secondaire et connue dès le début ). Très beau travail de la chef op Agnès Godard. Le dénouement, par contre, est assez pauvre et attendu. On le savait depuis le début, puisqu'on n'arrêtait pas d'apercevoir le meurtrier. Mais l'intérêt est ailleurs. Par contre, comme pour le dénouement, on ne fait qu'effleurer les différentes histoires. J'aime bien cette manière de rester dans le réel, à la surface des choses, pour plus de sentiment de vérité, sans forcer les histoires, mais là c'est parfois vraiment trop contourné. Ana Girardot et Audrey Bastien sont très mignonnes.
10/20

Wall Street II : l'argent ne dort jamais – Oliver STONE – 2010
Un peu de mal à trouver un intérêt à tout cela. Mais à l'heure où Lucas Papademos, Mario Monti et Mario Draghi sont désignés, c'est assez amusant de voir un film pour lequel les scénaristes se sont inspirés de Goldman Sachs, où ces trois « banksters » ont travaillé. Mais tout ceci, comme le reste, n'est que pur hasard...
5/20

Deux flics sur les docks : Les Anges brisés – Téléfilm de Edwin BAILY – 2011
C'est mauvais. Tout sonne faux, et en plus tous les clichés sont de sortie : l'enquête, le méchant dès la première scène, la douleur de la mère, les dialogues, la noirceur excessive des protagonistes, l'histoire entre le flic et sa collègue, le fils sourd-muet, la musique. C'est mauvais, et en plus les investigations aboutissent à des conclusions absolument ridicules. Et que dire de cette fin et de sa morale immorale ? Jean-Marc Barr joue toujours de la même manière, creuse. Bruno Solo est plutôt bon. Le cadre triste et gris du Havre est parfait ( comme dans « Quatre garçons dans la nuit » du même Baily qui décidément alterne le bon et le mauvais avec une grande régularité ), et il y a la jolie Liza Manili, sauf que son rôle ne sert à rien. Et c'est tout. Bon, apparemment il y a une suite...
4/20
« On riait beaucoup toutes les deux, mais les rires, ça n'a jamais empêché la tristesse »

*Just married – Garry MARSHALL - 1999
En fait ce n'est pas aussi mauvais que j'avais pu le penser à la première vision. Ce n'est pas vraiment de l'humour, c'est autre chose en fait. Ce n'est pas non plus une comédie romantique ( ce que l'équipe de « Pretty Woman » pouvait laisser supposer ), tout est beaucoup trop faux pour cela. Non, c'est un petit film écrit par amour pour Julia. Et ça je peux comprendre.
8/20

Deux flics sur les docks : Lignes blanches – Téléfilm de Edwin BAILY – 2011
Je ne sais pas combien il y aura d'épisodes, mais par contre je suis certain qu'il faudra au moins attendre le trentième pour qu'il se passe quelque chose et qu'on ait le quart du début du commencement d'un intérêt quelconque dans cette série complètement ratée.
4/20

Je l'aimais – Zabou BREITMAN – 2009
Après un premier film façon téléfilm, Zabou réalise là un film de cinéma, au moins dans la forme. Il y a de beaux cadres, avec de belles focales sur les deux amoureux, lors de leur rencontre par exemple. Mais, dans le fond, tout cela est par trop insignifiant. Et puis à quoi ça sert de commencer sur une histoire, pour finalement faire un film qui n'a rien à voir ? Bon, cela dit, Marie-Josée Croze reste selon moi l'une des meilleures actrices de sa génération.
7/20

R.T.T. – Frédéric BERTHE - 2009
Mélanie Doutey, angélique, dans une sombre comédie à gros sabots.
4/20

Impact – Téléfilm de Mike ROHL - 2009
Un téléfilm catastrophe dans lequel la lune dévie de son axe et menace de s'écraser sur la terre. J'aime bien ce genre de téléfilms de série B tout pourri, pour passer un dimanche après-midi par exemple. Beaucoup d'invraisemblances, beaucoup de confusion,. L'intention est bonne, mais c'est beaucoup trop longuet dans la seconde partie ( où il ne se passe plus aucune catastrophe ), et on aurait pu avoir plus original qu'une resucée fadasse de « Armageddon »
7/20

*Chute libre – Joel SCHUMACHER – 1993
Ca a très mal vieilli, c'est dingue. Le scénario tire en longueur sur une trame somme toute assez pauvre, et l'aspect psychologique est traité par-dessus la jambe. Pas un grand intérêt donc.
6/20

King Kong 2 – John GUILLERMIN - 1986
Un navet monumental. Chaque seconde m'aura été d'une souffrance indescriptible.
1/20

Millions – Danny BOYLE – 2004
Un petit film de Boyle, qui s'amuse surtout à en faire un objet visuel, très coloré et aseptisé. Au final, on a une espèce de Ken Loach très guimauve pour enfants. Heureusement, il s'est rattrapé juste après avec l'excellent « Sunshine »
6/20

La Clef des secrets – Téléfilm de Richard ROY - 2005
Un petit suspens psychologique sans grand suspens. Tout est fait pour qu'on comprenne tout assez vite. Et c'est pénible.
5/20

La Conquête – Xavier DURRINGER – 2010
Eblouissante composition de Denis Podalydes, qui campe un Sarkozy petit enfant blessé dans son amour propre. Le film montre le rôle considérable de Cécilia Ciganer-Martin-Sarkozy-Attias dans le parcours et le succès de son ancien amour, qui s'est construit pour elle, et qui devient étrangement et fortement sympathique. La politique est son métier, et son objectif logique est d'atteindre l'élection suprême, pour lui, par ambition. Pas pour la France ou nous, les français. En ce sens, le film ( très bien écrit par l'excellent Patrick Rottman ) permet de mieux comprendre la personnification de sa politique. Et le mauvais rôle est pour Villepin. Impossible de le percevoir différemment désormais.
9/20

*Coup de foudre à Rhodes Island ( Dan in the real life ) - Peter HEDGES - 2007
Là encore, comme pour « Just married », j'ai préféré à la première vision. Binoche est parfaite en femme romantique un peu perdue, et Steve Carell s'éloigne de la caricature ( comme dans « Little miss Sunshine » ) pour incarner un personnage plus vrai et plus sensible qu'à l'accoutumée. C'est léger et sans conséquence, pas la comédie romantique idéale, mais on est dans une ambiance agréable, familiale et sans douleur. Séquence au bar très amusante avec la brune pulpeuse Emily Blunt.
9/20
« L'amour n'est pas un sentiment, c'est un talent »
« Je regardais le vide immense de la vie qui m'attends, et mes yeux sont tombés sur toi par hasard »

1, 2, 3 voleurs – Téléfilm de Gilles MIMOUNI – 2011
Otan pour moi, j'ai trouvé pire que les « Flics sur les docks ». Cette musique de téléfilm humoristique, c'est insupportable. Choisie pour illustrer un polar qui se veut un tant soit peu réaliste et violent, ça ruine illico tout effet de vraisemblance. On avait connu Mimouni plus inspiré avec son beau « L'Appartement » il y a quinze ans. Mais là, non, c'est trop pour moi. L'unique intérêt résidera donc dans les deux minuscules scènes où joue Jennifer Decker.
3/20

Coupable innocence – Téléfilm de Peter MARKLE - 2011
Bon, niveau scénar c'est cousu de fil blanc, aucun suspens à l'horizon, mais comme j'ai juste regardé pour Gabrielle Anwar ( plus elle vieillit, plus elle ressemble à Madeleine Stowe ) et que je ne m'attendais pas à voir un film intéressant, ça allait.
6/20

*Casino Royale – Martin CAMPBELL - 2006
Une belle Eva Green, un Daniel Craig moins James Bond que jamais. Je n'avais pas trop accroché à la première vision, mais là c'est un peu mieux, sans être du grand scénario d'espionnage.
8/20

Castle – Divers épisodes épars
Plus je regarde, plus j'apprécie. En plus, il y a des allusions cinématographiques. Ce qui est dommage, malgré la qualité de certains scénarios, c'est qu'on sait qu'à chaque fois on va avoir trois ou quatre suspects dont on sait pertinemment que ce ne sont que des suspects et en aucun cas les meurtriers, parce que celui-ci n'est dévoilé que dans les six dernières minutes, après tous les retournements possibles, de l'indice le plus éloigné jusqu'à celui qui le trahit. Le contrat est rempli en terme de divertissement léger, mais ça finit par devenir un peu trop répétitif et lassant. Sauf que maintenant je ne loupe aucune diffusion.
« On ne peut pas reprocher à Jodie Foster les actes qu'un de ses fans avait commis en son nom. Cela dit on peut lui reprocher... « L'Ile de Nim » »
9/20

Boire, fumer, et conduire vite – Pièce de Philippe LELLOUCHE – 201
Comme pour ses précédentes pièces, il y a de bonnes petites réparties de temps en temps, mais on a perdu en nuances et en originalité. Le coup du coma, on s'en doute assez vite, et d'ailleurs ce n'est pas vraiment important. C'est peut-être même la mauvaise idée, parce qu'on aurait pu aller sur un terrain un peu plus léger. Et plus Lellouche est sérieux, ainsi que ses comédiens, moins ça fonctionne. Mention spéciale pour Vanessa Demouy qui a encore un rôle trop moralisateur, trop détaché, trop féminin.
6/20
« Parler avec un mec bourré, c'est vite saoulant »

Le Comique – Pièce de Pierre PALMADE - 2008
C'est bien. Sauf la fin.
8/20
« J'adore les croques-monsieur, tu crois que ça a un rapport avec le fait que je sois pédé ? »
« Le XXème ça va, c'est pas trop loin de Paris »
« Tu m'aimes et tu voudrais que je t'aime. Je comprends mieux pourquoi tu veux devenir célèbre : en fait tu ne désires que ce que tu n'obtiendras jamais »
« Vous vous souvenez comment on fait avec une femme ? - J'ai lu la Bible »

Manu Payet au Bataclan – Spectacle d'Emmanuel PAYET et Philippe MECHELEN – 2008
De très bons moments. Je l'aimais déjà bien ce petit Payet, et maintenant je sais pourquoi.
8/20

Du plomb dans la tête – Spectacle de Sophia ARAM – 2009
Un beau travail de comédienne, principalement, mais le texte est un peu léger. On flirte avec l'humour noir, mais on n'y est pas vraiment. J'espère que son « Crise de foi » est plus réussi, sur un sujet qui me semble plus pertinent.
7/20
« Chez les esquimaux, ils se font tellement chier que le suicide est une sorte de loisir »

Mother Fucker – Spectacle de Florence FORESTI – 2010
De bons petits moments, mais c'est de l'humour un peu trop simple et nombriliste.
6/20

* * *

Une Garçonnière pour quatre ( Boys night out ) - Michael GORDON - 1962
Une excellente petite comédie à l'ancienne, avec une Kim Novak pimpante et espiègle.
8/20
« Sur les problèmes sexuels, les hommes ne peuvent s'empêcher de mentir, et les femmes de dire la vérité. Je ne sais pas ce qui est le pire »

Le plus grand des hold-up – Hy AVERBACK – 1969
Une comédie western des plus navrantes, dans laquelle Kim Novak semble ne « jouer »... que sur son physique. Et cela est plus qu'attristant. A oublier au plus vite.
3/20

*Une question de vie ou de mort – William POWELL & PRESBURGER - 1946
Un excellent petit film, original, romantique. Bien plus intéressant que leur « Narcisse noir » ( on aperçoit d'ailleurs Kathleen Byron en hôtesse d'accueil du paradis ). Je ne pige pas bien l'intérêt du duel américano-britannique entre avocats pendant le procès, mais à part ce petit passage – qui emmène quand même le film vers une fin un peu lourde - tout est très bien. ( Après vérification sur Wikipedia, je trouve la réponse : c'est un film de commande pour arranger les relations des troupes britanniques et américaines basées en Europe après la guerre ). Bien trouvé, bien écrit, bien dialogué, bien réalisé. Un grand petit film.
10/20

Ariane, jeune fille russe – Paul CZINNER - 1931
J'aime bien l'actrice, Gaby Morlaix, une sorte de Mélanie Laurent des années 30
8/20

*King Kong – John GUILLERMIN - 1976
Un film ambitieux, et réussi. En plus d'une ode à la beauté de la jeune Jessica Lange, qui a dû en faire rêver plus d'un ( un de mes souvenirs d'enfance d'ailleurs ), car nous sommes tous de gros King-Kong romantiques
8/20

Le Grand escogriffe – Claude PINOTEAU – 1976
Agostina Belli, qui était mignonne, et les vues de Rome depuis les toits sont les seuls intérêts. Le rôle convient bien à Montand, j'avoue, mais c'est aussi très pénible.
5/20

Tu seras un homme mon fils ( The Eddy Duchin story ) – George SIDNEY - 1956
J'aurais bien aimé apprécier ce film davantage, mais ce n'est pas très captivant. Chose étrange, Kim Novak est moche. Ici, c'est Victoria Shaw qui est jolie. Ce que je peux être goujat moi...
6/20

L'Ange pervers ( Of human bondage ) - Bryan FORBES - 1964
Un beau mélodrame. Un héros qui se laisse gangrener par un amour impossible qui se joue de lui. Le rôle de Kim Novak est atroce, mais lui convient parfaitement et lui permet de livrer une vraie performance d'actrice.
10/20

Autopsie d'un meurtre – Otto PREMINGER – 1959
Un film de tribunal plutôt mineur, surtout un demi-siècle plus tard. On se doute que le meurtrier est coupable, et qu'il a commis son méfait de sang-froid. L'avocat de la défense, joué par l'impeccable James Stewart, a juste bien fait son boulot. Côté réalisation, c'est très mauvais ( hormis les scènes d'audience, on a droit à des ombres de caméra ou de perchman quasiment à chaque plan )
8/20

L'École des contribuables – René GUISSART – 1934
Une curiosité. Pas franchement emballé, il aurait pu y avoir un peu moins d'histoires financières pour un peu plus de comédie, mais c'était amusant.
7/20

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