Mes films de Novembre
Tiens, j'ai l'impression que je commence à mettre plutôt 9 que 8 aux films potables.
Y a du progrès... ou alors je commence à devenir moins exigeant...
Joyeuses funérailles – Frank OZ - 2007
C'est du comique un peu trop grossier, mais allez, ça passe.
5/20
Open Bed – Pièce de David SERRAO et Roberto SANTIAGO, adaptée par Laurent Ruquier - 2008
Mouais, très sommaire. Pour la brune Elisa Tovati et la blonde Laurence Arné
4/20
The Kovak Box – Daniel MONZON - 2006
Un
excellent thriller, très hitchcockien, jusque dans la musique,
typiquement hermannienne. Excellent, enfin, je dois préciser : dans sa
première moitié uniquement. Car à partir du moment où il est question
du livre, et que l'énigme se résout de manière absurde, tout le charme
du début s'évanouit, et on tombe dans le mauvais téléfilm. Dommage,
tout était là dans l'amorce du scénario pour faire un beau truc.
8/20
La Vénitienne – Téléfilm de Saara SAARELA – 2010
Un
excellent petit thriller à la française. Thierry Frémont, acteur que
j'adore, et la belle Hélène Seuzaret, que je découvre, participent
grandement à cette réussite, tout comme l'atmosphère nocturne et la
belle façon de filmer Paris. Scénario très bien mené, intrigues
imbriquées et aspect psychologico-familial bien dosés. Une sorte de
Wallander de chez nous.
10/20
L'Affaire Blaireau – Téléfilm de Jacques SANTAMARIA - 2010
Amusant. Amusant façon gaminerie. Sans plus.
6/20
Crainquebille – Téléfilm de Philippe MONNIER - 2010
Le
plus triste des épisodes, le plus émouvant, et donc l'un des plus
beaux. Apparition de la jeune Morgane Cabot. Par contre, la musique
n'est pas du tout adaptée.
9/20
2012, la conspiration de l'Apocalypse – Documentaire de Dimitri GRIMBLAT - 2009
C'est amusant, dans l'esprit de « Opération Lune » de William Karel.
6/20
Batman et Robin – Joel SCHUMACHER - 1997
J'ai tenu quoi... dix minutes ? Pourtant il y avait Uma Thurman... mais bon, trop c'est trop.
1/20
L'Embrasement – Téléfilm de Philippe TRIBOIT – 2006
C'est
pas sur France télévision qu'on verrait ça ( l'autre soir, si on ne
savait pas pour qui voter en 2012, on avait des documentaires sur
Mitterand et l'Algérie, puis Le Pen et la torture ). Bref, merci à Arte
d'exister. Un bon téléfilm sur la mort de Zyed et Bouna, et les émeutes
de 2005.
9/20
Panic Room – David FINCHER - 2001
Avec
un titre pareil, je m'attendais au minimum à un film d'horreur, ou de
claustrophobie, mais en fait non. C'est juste un petit film de suspense
efficace, mais sans grande originalité.
8/20
The Weather Man - Gore VERBINSKI - 2004
Très
bon film. Un scénario typiquement dans le style que j'aime, entre
« Wonder boys » et « Rien sur Robert », avec un héros totalement
largué, looser magnifique. Une très belle photographie. Absolument rien
d'extraordinaire, juste un passage à vide d'un personnage paumé, avant
le changement. Un climat. Quelques nuages de respiration dans l'hiver.
Quelques petites épreuves du quotidien, anodines, mais qui font le sel
de chaque vie. Peu de choses. Une ambiance. Donc j'aime bien.
11/20
Un Lieu incertain – Téléfilm de Josée DAYAN – 2010
Encore
une adaptation de Vargas, après les trois premiers bons épisodes. Mais
là c'est vraiment trop alambiqué et tordu pour me convaincre. J'aimais
bien le début, au cimetière de Highgate, avec l'évocation de Dante
Rossetti, et j'aurais vraiment aimé une intrigue qui reste dans ce goût
là, en Angleterre. Bon bah je n'ai plus qu'à l'écrire tiens... Mais là,
c'est vraiment raté ( on aperçoit même l'équipe technique dans un
reflet de vitre de voiture à deux reprises ), et pourtant cette série
est ce que Dayan a fait de mieux depuis « La Rivière Espérance » il y a
quinze ans .
5/20
Tout ce qui brille – Géraldine NAKACHE & Hervé MIMRAN - 2010
Une
gentille petite comédie urbaine ( en fait ultra rive droite ouest
parisienne, limite dédouanement de bobo, mais bon ), féminine et
contemporaine. Un moment sympathique et rafraichissant en tout cas ( à
l'image de l'excellente imitation de Céline Dion en ouverture ).
9/20
*Ennemi d'état – Tony SCOTT – 1999
Un honnête thriller, qui contient les prémices du nouveau style du petit frère Scott.
8/20
*Affaires privées – Mike FIGGIS – 1990
Autant
pour moi, j'avais oublié que j'avais plutôt apprécié Gere dans ce bon
petit polar, aux côtés de Andy Garcia et la belle Nancy Travis. Il faut
dire que Figgis fait souvent du bon travail.
9/20
*Marche à l'ombre – Michel BLANC – 1986
Vu
et revu quand j'étais ado, ça faisait longtemps donc. Et je dois dire
qu'en plus du scénario et des dialogues, le travail de cadre est de
qualité. Sans doute l'équipe de Patrice Leconte ( vérifié : eh oui,
c'est Edouardo Serra, qui a fait beaucoup de leconte, et à qui on doit
aussi la magnifique lumière sur "la jeune fille à la perle" )
10/20
Les Méchantes – Téléfilm de Philippe MONNIER – 2010
Il
arrive à la fin ce qu'on attend tout du long de cette heure et demie
bien trop longue, et sans intérêt. Navrant. A quand une adaptation des
"Filles de feu" ( en particulier "Aurélia" ) de Nerval plutôt ?
2/20
Modern Love – Stéphane KAZANDJIAN – 2008
Une
belle petite comédie sentimentale à la française, mais héritière des
comédies américaines des années 90. La partie du film en insert est
juste prétexte à des passages chantés et dansés inutiles, mais outre
cela c'est très plaisant. D'autant que Bérénice Béjo est magnifique. A
tomber. Peut-être à mon goût l'équivalent français de ma Liv Tyler.
9/20
Fausses innocences – Téléfilm de André CHANDELLE - 2009
Une
Hélène de Fougerolles en blonde hitchcockienne. Un Thierry Godard comme
toujours impeccable. C'est noir, triste et dépressif ( ça se passe en
Belgique ), mais au final on n'aura ni une grande intrigue ni de
grandes émotions. C'est froid, et on est bien sans. Réalisation très
correcte.
6/20
Piégé – Antoine FUQUA - 2000
On
a droit ici à un suspens relativement faible, et au registre comique du
pire effet, comme dans les années 80. C'est donc très loin de tenir la
distance.
5/20
Camping 2 – Fabien ONTONIENTE – 2010
Une
redite du premier, en moins drôle donc. Parce que je n'ai aucun mal à
dire que j'aime bien le premier, que ça me rappelle mon enfance, que
c'est creux et un peu gras, mais sympa quand même, dans la lignée des
"Bronzés font du ski".
7/20
99 Francs – Yann KOUNEN - 2007
Ah
bah c'est sûr qu'il n'y avait pas mieux que Kounen pour faire un film
sur la déchéance d'un coké qui finit dans la jungle. Apparemment
d'ailleurs, la drogue c'est pas bien. Le voyage en surface est
cependant plutôt bien foutu. De bons moments avec les bad trips ( le
dessin animé avec le bébé en sang qui vole, trop fort ). Bien joué
aussi le coup de la fausse fin. La vraie fin est nettement dispensable.
9/20
Robin des Bois – Ridley SCOTT – 2010
Un
préquel attrayant, au scénario signé Helgeland. Après « Duellistes »,
« Gladiator » et « Kingdom of Heaven », encore un bon film de genre du
grand frère Scott. Mais j'ai surtout hâte de voir sa « Guerre
éternelle », d'après Haldeman, qu'il projette de tourner.
9/20
*Poursuite - Andrew DAVIS - 1996
La
poursuite hivernale du début ( plus hitchcockienne que dans « Le
Fugitif ») me plaît bien, mais le côté scientifico-débile, beaucoup
moins. On a donc une heure sympa, même si on pourrait pu espérer un
poil plus de romantisme avec la pimpante, pulpeuse et délicieuse Rachel
Weisz, qui manie très bien le battement de cils sur ses yeux humectés.
On accumule donc les déceptions, dans ce film plus que mineur.
6/20
Le Goût de la vie – Scott HICKS - 2007
Une
gentille petite comédie un peu triste, donc pas totalement guimauve.
Sucrée salée quoi, puisqu'il s'agit de cuisine. La petite Abigail
Breslin ( « Little Miss Sunshine » ) est très bien.
9/20
Tango – Téléfilm de Philippe VENAULT – 2010
Sans
doute le pilote d'une série, avec deux flics comme héros ( le flic un
peu rustre et original, et sa collaboratrice garçon manqué – la belle
Audrey Fleurot ). Concernant l'intrigue, ça met une heure à décoller,
et ça ne vole pas bien haut. Bref, on n'aura sans doute pas de suite.
6/20
Premier regard – Irvin WINKLER - 1999
Val
Kilmer et Kelly McGillis : les deux mêmes que dans « Top Gun », quinze
ans après. Sans Tom Cruise, mais avec la pétillante Mira Sorvino, qui
habite tout le film.
8/20
Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec – Luc BESSON – 2010
On
retrouve un peu la sauce Besson la plus digeste – sans être pour autant
passionnante - avec l'Egypte archéologique ( Cinquième élément ), des
vues touristiques de Paris ( la statue de Jeanne d'Arc ), un humour
basique, pour ne pas dire puéril ( Arthur ). Une adaptation BD telle
que les gens la conçoivent quoi. Là-dessus, je ne me prononcerai pas :
je n'ai jamais été fan de cette série de Tardi. Je peux juste dire qu'on en est très loin. Bon, donc ça se regarde
et ça s'oublie aussitôt. C'est drôle, je le savais déjà avant de le
voir.
7/20
Perdus dans l'espace – Stephen HOPKINS - 1998
Un
scénario intéressant, à base de fluctuations spatio-temporelles - mais
un résultat vraiment beaucoup trop kitch en carton-pâte, avec un
je-ne-sais-quoi caractéristique des films de daube, principalement à
cause des effets spéciaux. Quand oon sait que ça rendra aussi mal, on
ne se lance pas dans une telle entreprise. Uniquement pour la belle
Heather Graham, donc.
6/20
*A la petite semaine – Sam KARMANN - 2003
Ca
commence avec de bons mots, on pourrait croire qu'on se lance dans un
excellent Karmann. Mais il faut bien une intrigue, et on se retrouve
dans une petite histoire de petits truands sur le retour ( sur une
semaine, comme son nom l'indique ). Evidemment, Cornillac est plutôt
bon en beauf intégral, Gamblin plutôt bon en looser sensible, et Lanvin
plutôt bon en taulard romantique qui veut se racheter. Mais ça n'ira
pas au-delà.
7/20
Le Silence de Lorna – Jean-Pierre et Luc DARDENNE - 2008
Un
grand et beau film. Bon, c'est cru, c'est rude, mais on rentre avec
tendresse dans ce silence, sans pouvoir aider la petite Lorna, qu'on
sait perdue dès le départ, et qui pouvait se sauver ( et sauver celui
qu'elle aurait pu aimer ). Le film s'ouvre sur des billets de banque :
tout tourne autour de l'argent, des trafics, des escroqueries, des
détournements. La bourse pour la vie, croit-elle. Avec tout ce que ça
implique de bon et de mauvais choix, d'options, d'erreurs, de
retournements, de déceptions, d'hypocrisies, de compromissions, de
silences. Difficile de gérer tout cela. Difficile d'arriver à ce qu'on
désire. On suit donc cette séquence de vie moderne avec la noire
fascination pour une résolution qui ne viendra pas. La caméra à
l'épaule ne fait plus mal au crâne, ça fait plaisir aussi.
12/20
Fracture – Téléfilm d'Alain TASMA – 2010
Une
sorte de redite – mais en beaucoup plus aboutie – de « Entre les
murs », avec comme axe principal le désoeuvrement et la confusion. Bon,
ensuite l'exemple par la parabole ( la fracture sociale, sociétale,
urbaine, générationnelle, familiale, physique et mentale ) est souvent
très intéressant : l'épisode final de l'enlèvement est certes parlant,
mais un peu extrême cependant. Le prix d'interprétation aux comédiens,
tous extraordinaires.
12/20
Vieux films
Quelque part en France – Jules DASSIN – 1942
Un
bon film. Très belle interprétation de Joan Crawford, tiraillée entre
l'amour et le patriotisme. Le jeune John Wayne jeune me convient. On
aperçoit aussi la magnifique Ava Gardner une fraction de seconde.
12/20
*Papillon – Franklin J. SCHAFFNER - 1973
Mouais, c'est pas déplaisant de revoir ce film vingt ans après. Hoffman et McQueen sont très bien.
9/20
L'Aigle vole au soleil – John FORD – 1956
Je ne vois pas trop l'intérêt de ce film.
2/20
Le Fils du désert – John FORD – 1948
Pas
trop mal. La parabole sur les Rois Mages, la Bible et Jésus est
originale, et mis à part quelques longueurs, c'est plutôt un bon
western avec de bons sentiments. Peut-être un brin angélique du coup,
et pas assez sérieux pour convaincre.
8/20
L'Ecole des Cocottes – Pière COLOMBIER - 1935
Une
petite comédie sympathique, où une jeune fille admirée de tous devient
une dame de la bourgeoisie, et finit par y perdre sa personnalité. On
finirait par se lasser.
7/20
*Les Cowboys – Mark RYDELL – 1972
Je
ne me souvenais pas l'avoir déjà vu. Un beau western plutôt original,
où John Wayne engage des enfants pour convoyer un troupeau.
9/20
*L'Inspecteur ne renonce jamais – James FARGO - 1976
Un
épisode de Harry Callahan plus édulcoré, avec l'arrivée d'une nouvelle
partenaire. Un peu de machisme, un peu d'action, un « suppositoire à
sept branches », et le tour est joué.
7/20
L'Ange et le mauvais garçon – James Edward GRANT – 1947
Un
petit western dans lequel John Wayne échoue dans une famille de
quakers, où il rencontre la charmante Gail Russell ( On pense à «
Witness » ). Je m'attendais à une fin tragique, mais en fait c'est
assez cohérent qu'il y ait un happy-end, puisque l'ensemble ne tend pas
vraiment vers la gravité. Peu de tensions. Un western de surface en
fait.
8/20
Le Chemin de Rio – Robert SIODMAK – 1937
Seulement la première heure, mon enregistrement ayant failli. Mais j'ai néanmoins pu apprécier quelques dialogues bien sentis.
Je mets 8/20 pour ce que j'ai vu.
Breezy – Clint EASTWOOD - 1973
Une
petite fille qui cherche l'amour d'un père. Beaucoup de tendresse et
d'émotion dans ce qui est pour moi un des plus beaux films d'Eastwood.
Très beau rôle pour Kay Lenz, dont je suis tombé immédiatement
amoureux. Sans hésiter mon film du mois.
( Marrant le plan sur la plage où un assistant tient un branchage au-dessus de la caméra pour faire passer le tout en ombrage )
13/20
Hondo, l'homme du désert – John FARROW & John FORD – 1953
Un
tout petit western, qui me déçoit ( au niveau de la réalisation ) de la
part de Farrow. Histoire sympathique cependant, où les indiens et les
visages-pâles sont et bons et méchants, mais le machisme de Wayne
déteint un peu trop. Heureusement que c'est court.
5/20
Les Cordes de la Potence – Andrew McLAGLEN – 1973
Un bon western. George Kennedy est très bon. Et le gamin aussi.
9/20
La Route de l'Ouest – Andrew McLAGLEN – 1967
Bien meilleur selon moi que « La Conquête de l'ouest ».
8/20
Le Renard des Océans – John FARROW - 1955
Un film qui vaut ce qu'il vaut. Décidément Farrow redescend grandement dans mon estime avec ces deux films avec Wayne.
5/20
Tante Zita – Robert ENRICO - 1967
Un
film à la gloire de Joanna Shimkus, qui était fort jolie et savait
parfaitement minauder, mais qui ne savait pas trop jouer. J'aime bien
le principe de suivre la jeune femme durant une nuit et une journée,
avec toutes ses petites péripéties et rencontres plus ou moins
déterminantes. Un léger bémol concernant la scène onirico-érotique, qui
est à s'étrangler de rire et rompt tout le charme.
10/20
Mourir d'aimer – André CAYATTE – 1971
Et
dire que cette histoire vraie qui s'est déroulée il y a quarante ans,
au lendemain de mai 68, n'avait déjà rien de scandaleux à l'époque.
Mais non, la bêtise, l'acharnement, la prison, l'hôpital psychiatrique.
Comme dans « Les Risques du métier », Cayatte, qui a commencé comme
avocat et a lutté toute sa vie contre la peine de mort, règle ses
comptes à une certaine justice, laissant supposer quelle serait la
sienne. Or, comme l'écrivait Michel Del Castillo, ils ont « tué
Gabrielle Russier ».
A noter que le film a été tourné à Rouen et que
j'aime bien revoir ma ville telle que je ne l'ai pas connue. Il y a
même une courte scène dans MON Jardin des Plantes, ce qui fait qu'en
fait c'est le film tourné le plus près de chez moi, et non « Les
Valseuses ».
Et il y a également la belle Marie-Hélène Breillat, soeur de.
10/20
Bronco Apache – Robert ALDRICH - 1954
Un
bon petit western avec un excellent Burt Lancaster. On commence dans
une direction, puis le film s'oriente sur une toute nouvelle piste. Une
ruse indienne sans doute. La fin est surprenante, mais soit ( Lancaster
et Aldrich voulaient un duel final où le héros mourait, mais pas les
studios )
9/20
Le Scandale – Claude CHABROL – 1967
C'est
plutôt mauvais. Et comme on a droit à une Stéphane Audran déguisée, on
devine tout dès le début. Maurice Ronet est comme toujours excellent,
mais ça ne suffit pas.
6/20
Une Histoire immortelle – Orson WELLES - 1966
Au
secours. C'est mal filmé, mal monté, c'est niais, il semble qu'en plus
il y ait un concours de faux-raccords. Le rêve de Welles était sans
doute de réaliser un film de fesse. Eh ben même ça c'est raté.
Insupportable. Je ne comprends pas ce qu'on trouve à Welles.
1/20
Quand j'étais mort – Ernst LUBITSCH – 1916
Une petite comédie de boulevard, qui vaut surtout comme témoignage d'une époque et d'un cinéma.
4/20