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Ma vie avec moi...
2 novembre 2009

Mes films d'Octobre

"Au revoir à jamais" de Renny HARLIN - 1996
Marrant de voir qu’en 1996 on scénarise déjà de méchants agents de la CIA qui veulent augmenter le budget de l’Armée en organisant un attentat au WTC qui serait attribué aux musulmans. Sinon, ça ressemble beaucoup à la trame de départ de "XIII", mais ça vire au bon gros navet de merde assez rapidement.
2/20

"Anges et Démons" de Ron HOWARD - 2009
Bien supérieur au précédent, j'ai bien aimé. Ici, point de délires mystiques et de descendance bidon, mais une enquête bien construite, tout en critiquant le catholicisme opposé à la science, et dépositaires de trop de secrets. Donc j'apprécie grandement, et la trop courte balade dans l'architecture romaine me rappelle elle aussi de bons souvenirs. Réalisation soignée, bonne musique de Zimmer, un divertissement efficace.
9/20

"Transformers 2" de Michael BAY - 2009
Je me suis fais chier tout du long. Au lieu de creuser une bonne idée ( il y en a deux ou trois ), ça bastonne à tout-va, et ça me gave d'emblée. D'ailleurs, je n'ai même pas regardé la dernière heure, juste écouté, j'ai préféré bosser. Bref, je m'attendais à un gros truc, et en effet c'est une énorme daubasse.
2/20 ( j'avais surnoté le premier, je lui mets 3 maintenant )

"Wall-E" d'Andrew STANTON - 2008
Un petit bijou. Drôle, tendre, émouvant, parabole sur le devenir de notre planète, vision pessimiste équilibrée par l'humanisme, conscience écologique et clins d'oeil à "2001". Un beau voyage.
14/20 ( oui, là c'est mon cœur d'enfant qui parle )

"Blown away" de Stephen HOPKINS - 1994
Un petit thriller qui a plutôt bien vieilli. Et une Suzy Amis fort charmante ma foi.
7/20

"The Boat that rocked" de Richard CURTIS - 2009
Que dire. Un mélange de faits réels, de fiction parabole ( la dernière séquence ), de comédie comme sait si bien les écrire Curtis, avec différents personnages hauts en couleurs, un soupçon de romantisme adolescent, le tout saupoudré de rock'n'roll et de nostalgie sixties, avec sa nonchalance et sa soif de liberté. Un beau bol d'air frais donc.
10/20 ( belle apparition de January Jones )

"Un frisson dans la nuit" ( Play Misty for me ) de et avec Clint EASTWOOD - 1971
Le premier film du bonhomme. Déjà parfaitement maîtrisé - même si on sent bien l'apport d'un Don Siegel - de beaux mouvements de caméras simples et discrets, un zoom quand il faut, de belles focales. Par contre, le montage des scènes "d'action" colle trop à l'époque, et après la séquence du festival de Monterey ça s'épuise un peu. A noter aussi la très belle interprétation de Jessica Walter en folle hystérique.
9/20

"16 Blocs" de Richard DONNER - 2006
Un petit film sympathique. Un témoin à la limite de la débilité, mais plein de bons sentiments, des policiers corrompus, une traque urbaine, un peu d'humour, la rédemption d'un vieux flic hanté par sa conscience ( Bruce Willis ). Bon, rien de bien extraordinaire, mais un divertissement gentillet.
8/20 ( je mets souvent 8 en fait, c'est ma moyenne )

"Ah si j'étais riche" de Michel MUNZ et Gérard BITTON - 2002
Une petite comédie agréable sur un cadre qui gagne au loto et tente de regagner sa vie. L'argent ne fait pas le bonheur...
8/20

"Easy Virtue" de Stephan ELLIOTT - 2009
La rencontre des opposés : la modernité et la tradition, la soif de vivre et l'aridité, l'ancien et le nouveau monde. On se dit au début que ça va être quelconque, et en fait c'est un beau film, qui dit beaucoup de petites choses ( d'après une pièce de Noel Coward, déjà adaptée par Hitchcock en 1928 ). De l'humour, de la satire, du sentiment. Bien filmé, ni grand film ni navet, j'ai bien aimé.
10/20 ( avec une Jessica Biel enfin dans un autre rôle qu'elle )

"Le Grand embouteillage" de Luigi COMENCINI - 1979
C'est grand. Une parabole sur nos sociétés modernes, sur la stupidité et la cruauté des hommes. C'est loin d'être un beau spectacle ( hormis pour Angela Molina, qui est sublimissime, et qui a droit aux seuls épisodes d'humanité, enfin... pas uniquement ), mais c'est grand.
12/20

"L'équipier" de Philippe LIORET - 2004
Un beau petit film simple.
9/20

"Scream 2" de Wes CRAVEN - 1997
Regardé d'un œil en travaillant, en fond sonore plus qu'autre chose.
Une charmante Neve Campbell, et après je ne sais plus trop, c'était plutôt marrant et pastiche.
6/20

"Le Jour d’après" de Roland EMMERICH - 2004
Un bon film spectacle catastrophe, sur fond de dérèglements climatiques. Avec un acteur que j’aime beaucoup, Dennis Quaid, une jolie petite brunette, Emmy Rossum, un divertissement parfaitement dans le cadre de ce que je peux aimer comme blockbuster made in US.
11/20

"Mortelle randonnée" de Claude MILLER - 1982
Un film étrange, qui ne m'a jamais convaincu, mais que je revois à chaque fois pour la petite apparition de mon vieil ami Guillaume Le Guellec, le petit garçon dans le parc.
8/20

"Inside Man" de Spike LEE
Un thriller tout à fait honorable, et bien ficelé. Et puis tout n'est pas tout blanc ou tout noir. Enfin j'me comprends....
8/20

"Le Témoin du marié" de Stefan SCHWARTZ - 2005
Une petite comédie britannique très quelconque, mais bon, moi j'aime bien les comédies romantiques, même quelconques.
6/20 ( j'avais nettement préféré son "Shooting Fish", avec le même acteur d'ailleurs, et l'alors inconnue Kate Beckinsale )

"Furtif" de Rob COHEN - 2005
Un mix de "Top Gun" et "2001", avec un manichéisme et un degré cinématographique plus proche du premier cependant, avec mademoiselle Jessica Biel, qui n'est pas loin d'être le seul intérêt du métrage.
6/20

"Créances de sang" de et avec Clint EASTWOOD - 2002
Loin d'être le meilleur cru du sieur. Très étrange de voir ça dans sa filmographie récente d'ailleurs. Et puis quand on l'a déjà vu, ça gâche un peu tout le potentiel aussi...
7/20

"Timecop" de Peter HYAMS - 1994
L’idée est intéressante, mais non, on va plutôt en faire une grosse daube infâme, en faisant un scénario bâclé et approximatif. Au final, un mauvais téléfilm avec bagarres, effets spéciaux et dialogues débiles
1/20 ( pour les idées originelles « temporelles » )

"La Sanction" de et avec Clint EASTWOOD - 1975
Un film en trois parties, le gros se jouant finalement au bout d'une heure vingt, lors de l'escalade. Mais c'est un peu long et lassant, et puis l'intrigue n'amène aucun rebondissement de taille. On attend, on assiste, et on s'épuise un peu. Je retiens les plans d'hélico qui arrivent jusqu'au visage de Clint, à la Siegel.
7/20

"Bonjour l’angoisse" de Pierre TCHERNIA - 1988
Un film stupide, et pas drôle, co-scénarisé par Gotlib. On est loin de la réussite du "Viager".
1/20


Vieux films

"Le Diable et les 10 Commandements" de Julien DUVIVIER - 1962
Une succession de sketches, avec une belle galerie d'acteurs ( Simon, Ventura, Aznavour, Darrieux, Presle, Carmet, Fernandel, Brialy, Delon, la voix off de Claude Rich ), qui présente le seul intérêt notable de ce film très inégal. Au début, les plans enchainent les zooms, ça fait peur, mais chaque sketch est réalisé de manière différente, entre la vieille école et la nouvelle vague. Bref, pas top.
6/20

"La Bataille de Thermopyles" de Rudolph MATE - 1962
Au secours, c'est nul. Rudolph, retourne aux polars, fais ce que tu sais faire. Je me disais : chouette, un vieux péplum, ce sera mieux que le remake "300", il y aura un charme désuet, de grands paysages, du drame et du Technicolor. Mais non, les décors sont ridicules, les scènes de bataille - un peu le cœur du film - sont pitoyables. Bref, on n'y croit pas un instant, on pouffe juste de rire. Ah ces braves spartiates qui partent "à la nage" avec leurs casques, leurs lances et leurs capes, j'adore...
4/20

"Je ne voudrais pas être un homme" d'Ernst LUBITSCH - 1918
Un court film, pas désagréable, bien réalisé. Mais certaines scènes sont trop longues, et l'accompagnement musical est horrible. Ca m'a agacé moultement.
5/20

"The Private affairs of Bel-Ami" d'Albert LEWIN - 1947
Le destin d'un jeune arriviste abject, qui multiplie les mariages pour asseoir ses ambitions. La reconstitution, les décors, faut pas être trop regardant, c'est pauvre. Le héros, à aucun moment on ne comprend ce que les femmes lui trouvent ( je crois que le choix de l'acteur est un peu loupé sur ce coup ). Mais le roman de Maupassant est bien retranscrit, et puis on n'a pas tous les jours une séquence de film hollywoodien qui se passe dans ma bonne vieille ville de Rouen. L'homme qu'il tue en duel à la fin, c'est un peu mon ancêtre. Mais bon, le film en lui-même n'est pas une réussite, malheureusement.
7/20 ( je retiens aussi le plan sur la chatte qui allaite ses petits, effrayée, avec le bal en arrière plan )

"Scarlett dawn" de William DIETERLE - 1932
Lors de la révolution russe, un officier s'enfuit avec sa servante. Un court film dense et maîtrisé, avec une petite histoire d'amour assez mal fagotée, sur fond de grande Histoire. Des hommes qui se jouent des femmes, j'en aurais vu en deux films d'affilée... mais ici au moins le cœur reprend le dessus in extremis.
7/20

"La Cage aux rossignols" de Jean DREVILLE - 1945
Le film qui a inspiré "Les Choristes". Ici, on a toute une introduction avec la future femme de l'instituteur, qui lit à sa mère le roman publié en cachette dans un journal. Puis l'histoire au pensionnat, qui semble assez brève, moins pointue, moins fine que dans le "remake", mais c'est beau quand même, tous ces bons sentiments, de tenter d'améliorer la vie de ces petits gars malmenés par le sort. Et puis le rôle convient parfaitement à Noël-Noël, qui a co-écrit le scénario et les dialogues.
9/20

"Alias the Doctor" de Michael CURTIZ et Lloyd BACON - 1932
Karl, travailleur acharné, et Stephan, son demi-frère paresseux, se rendent à Munich pour suivre des études de médecine. A la suite d'une opération illégale pratiquée par Stefan, Karl se laisse accuser à sa place.
Un film un peu vite torché à mon goût. Mais après tout, pourquoi pas, je n'ai pas été emballé outre mesure. Il aurait fallu s'attarder un peu plus sur le changement campagne/ville et sur l'histoire d'amour. Là, trop d'ellipses gâchent un peu l'équilibre global.
6/20 ( La jeune Marian Marsh était fort mignonne, ma foi )

"La Guerre de Troie" de Giorgio FERRONI - 1961
Ou plutôt l'Enéide, puisque le héros est Enée, donc du côté des troyens, mais avec les grecs, puisqu’il est contre cette guerre et que Paris est son ennemi. Sinon, pourquoi réaliser un tel film avec des scènes de bataille aussi mal foutues ? C’est d’un ridicule à toute épreuve. Comme pour le Maté, gros problème de représentation des lieux, de la géographie du site. C'est très amateur.
3/20 ( ben oui, trois, héhé )

grandembouteillage450

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