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Ma vie avec moi...
4 janvier 2009

Mes films de Décembre

"Once" de John CARNEY - 2007
Un beau film tourné en deux semaines, fait de bric et de broc, dans les rues de Dublin. Deux jeunes un peu paumés, elle et lui, se découvrent grâce à leur passion pour la musique. Dans un monde idéal, ils seraient fait l'un pour l'autre. En attendant, ils vont tâcher d'accomplir leur rêve. Une très belle ballade, sans fausse note. Une bouffée d'air frais. C'est mal filmé mais c'est pas grave. Un petit bijou.
12/20 ( Glen Hansard et Marketa Iglova, sublimes )

Les deux films d'hier soir avec Ashley JUDD
"Instincts meurtriers"
Un thriller psychologique bien construit, on n'imagine pas une seconde le twist. Mais c'est trop fabriqué pour être convaincant.
4/20

"Double jeu"
Un scénario plus intéressant, et le rôle de mère à la recherche de son enfant semblait taillé sur mesure pour l'actrice.
6/20

"La Coupe d'Or" de James IVORY - 2000
Dommage, un film avec deux actrices sublimes, mais dont l'histoire s'essouffle au bout d'une demie heure.
Une réalisation très académique, encore une fois, mais la passion n'est plus là.
4/20

"Ca se soigne" de Laurent CHOUCHAN - 2008
Un film qui croit être une comédie sur la maniaco-dépression et la bi-polarité, sans y parvenir une seconde. Sauf quand Thierry Lhermitte essaie de jouer le chef d'orchestre de génie, là je suis mort de rire. Manifestement, personne ne lui a expliqué à quoi servait la baguette, ni comment s'en servir. Un film à oublier très vite.
2/20

"Braquage à l'anglaise" de Roger DONALDSON - 2008
Un bon petit film de gangsters, d'après une histoire vraie : un cambriolage commandité par les services secrets britanniques pour voler les documents d'un trafiquant, au début des années 70. Surprenant. Et bien foutu.
10/20

"Deux jours à tuer" de Jean BECKER - 2008
Ca commence plutôt bien, d'emblée le personnage est sympathique, cynique ( au sens moderne du terme ) et véhément, cherchant à affirmer une sincérité nouvelle qui le tenaille. Bon, manque de pot, c'est cousu de fil blanc, et la deuxième partie du film consiste à nous expliquer ce que l'on a deviné depuis longtemps, et ça ça m'énerve tout le temps dans un film, qu'on nous explique ce qu'on sait déjà depuis longtemps. Et en plus, lorsque ça finit, au bout d'une petite heure vingt, on se dit "c'est tout ?". Donc c'est décevant. Il y avait d'autres choses à dire, et sans ellipses faciles, directement, comme le personnage au début. Mais non, ça s'enlise dans la vase irlandaise, et point final. Pour quelqu'un qui cherchait la franchise, c'est surtout de la lâcheté, et ça laisse un goût amer d'inachevé. Bref, donc, déçu, je pensais que j'allais adorer.
9/20

"Au plus près du paradis" de Tonie MARSHALL - 2002
Un hommage au film de McCarey "Elle et lui", mélo romantique et emblématique des années 50. Là, rien de bien romantique palpable, juste une silhouette, des souvenirs vieux de trente ans qui semblent plus fabriqués qu'autre chose. En tout cas nous n'en saurons guère plus. Encore une fois, on devine très vite qui sera au rendez-vous au sommet de l'Empire State Building, donc ça ne passionne pas des masses. Rien d'emblématique non plus. Le film est surtout un collage d'histoires personnelles dont on ne saura rien, et dont on ne veut rien savoir, et un prétexte pour filmer Catherine Deneuve, ses seins, sa soi-disante sensualité. Et là y a comme un problème, en ce qui me concerne en tout cas. Je me suis beaucoup ennuyé. On n'a qu'une envie au final : revoir "Elle et lui", qui lui est un très beau moment.
3/20 ( une petite apparition d'une charmante Noémie Godin-Vigneau )

"Romanzo Criminale" de Michele PLACIDO - 2007
Une fresque bien menée et bien réalisée. Les histoires sentimentales sont les bienvenues dans cet engrenage infernal. Le fait qu'il y ait un peu de femmes m'a aidé à suivre le film, parce que les magouilles masculines de gangsters, ça ne me passionne pas vraiment.
8/20

"Harry dans tous ses états" de Woody ALLEN - 1997
Une réflexion sur la création, et sur l'angoisse de l'artiste. Une critique de la religion aussi ( juive en l'occurence ). Je m'attendais à une comédie, et c'est un film sombre - malgré de bonnes saillies -, une introspection amère et lucide. La réalisation amorce les mauvais surprises à venir, un montage énervant.
9/20

"Joyeux Noël" de Christian CARION - 2006
Un très beau film humaniste et fraternel, qui n'oublie pas d'évoquer les drames et les douleurs du conflit, ses injustices. Une réalisation soignée, de beaux moments, j'ai beaucoup aimé.
12/20

"On the line" d'Eric BROSS - 2001
Une petite comédie ( qui se veut romantique ) sur une bonne idée de départ complètement ridiculisée par tous ces efforts cherchant à nous faire rire avec des éléments inutiles, des histoires idiotes d'ado, de rock, enfin du grand débile qui gâche tout. On nous prend même pour des cons...
2/20

"Le Dernier gang" d'Ariel ZEITOUN - 2007
Eh ben le petit Zeitoun aura au moins fait un bon film dans sa vie. Enfin, un film honnête quoi, sans plus. Un polar qui se laisse regarder sans déplaisir, sauf si on s'attend à ce que Vincent Elbaz joue bien, et si on n'est pas prévenu que c'est impossible ça peut faire bizarre.
 6/20

"La Nuit nous appartient" de James GRAY - 2006
Quelques longueurs, mais ça fait partie du style Gray. On plonge avec le héros ( très bon Joaquin Phoenix ) dans les profondeurs de la nuit et de ses guerres invisibles, jusqu'à ce que tout finisse par éclater. Une oeuvre noire et forte, mais tout le côté "je deviens flic et fais gaffe à ta gueule" est un peu superflu. Eva Mendes, oui bah on savait déjà qu'elle est bonne, mais à part la scène "d'ouverture" on ne la voit pas des masses. C'est un film d'hommes nom de dieu. Donc pas le meilleur Gray, mais bien foutu.
 10/20

"A boire" de Marion VERNOUX - 2004
Bon, cette scénariste-réalisatrice, elle a fait un premier film ( téléfilm ) qui est parmi mes préférés ( 'faut dire que j'aime pas des tonnes de téléfilms non plus ), et depuis je la suis de près ou de loin, mais j'apprécie toujours. Toujouirs j'avais écrit. Et c'est vrai que c'est assez jouissif, il y a des comédiens en liberté totale, dans un contexte loufoque et absurde propre à la fantaisie ou la folie douce. Edouard Bear est un comédien que j'aime beaucoup, Emmanuelle Béart est l'une des actrices les plus douées de sa génération, et ici elle offre une très belle prestation ( la scène de nu sous la neige, mon dieu... ). Bref, c'est loin d'être passionnant, mais on passe un bon moment doux/amer, entre comédie et drame, comme toujours chez Vernoux. Et ça fait du bien.
9/20 ( il manque quand même le petit truc qui ferait des bulles dans la tête )

Revu "Shakespeare in love", très sympa.
Et vu aussi "Détour mortel 2", un bon gros navet, chez ma voisine. Dès le début, je savais encore qui seraient les deux rescapés, c'est pas marrant. Mais c'est bien ridicule.

"Rambo" de Sylvester STALLONE - 2008
Bon bah ça dézingue à tout va. Scénar inutile, jeu d'acteur inexistant, réalisation ratée ( hormis un plan sur un arbre ), le tout en une heure vingt. Ouais bah autant oublier au plus vite, c'est sûr. Je ne suis pas sûr que le message de paix sous-entendu au début passe véritablement à la fin...
2/20

"Paris" de Cédric KLAPISCH - 2008
Rien que le générique du début surpasse de loin le film précédent. On sait qu'on va voir un beau film. Mais, même si j'ai beaucoup aimé, je suis déçu : certes il y a de beaux plans de Paris, mais au final il n'y a quasiment pas une scène en extérieur, très peu de Paris quoi. J'attends avec impatience le film qui saura montrer cette ville. Quant au reste, ce sont de beaux moments avec de beaux acteurs ( mention spéciale à Juliette Binoche et Mélanie Laurent, superbes ), des doutes et des questionnements humains, des évènements qui s'enchainent, une certaine facette de la vie. Une belle chronique chorale.
14/20

"L'incroyable Hulk" de Louis LETERRIER - 2008
Eh bien celui-ci est nettement plus réussi. La première séquence au Brésil est hallucinante. Ensuite, le mythe de la Belle ( et quelle belle, la plus belle de toutes, la raison pour laquelle j'ai voulu regarder ce film ) et la Bête est plutôt bien traité, et par rapport au premier film, ils ont même réfléchi au problème du caleçon. Il y a aussi un petit aspect psychologique, bref, c'était une divertissement efficace.
8/20 ( principalement pour Liv, qui devrait tourner beaucoup plus )
  

Vieux films


"Les Grandes familles" de Denys de la PATELLIERE - 1958
Les affres d'une grande famille imaginaire, entre petites rancoeurs et magouilles financières, bref, quand l'argent empêche le bonheur et pousse à réduire l'autre.
7/20

"La Tunique" de Henry KOSTER - 1953
Une bonne grosse propagande chrétienne ( si tu ne crois pas en Jésus tu deviens fou ), avec tous les clichés de la Fable en technicolor. Ou comment un tribun romain chargé de crucifier le Christ devient son plus fervent défenseur. Faut aimer le discours simpliste sur le sujet...
6/20

"Rio Bravo" de Howard HAWKS - 1959
Un western toujours agréable à revoir, notamment grâce à la belle Angie Dickinson ( John Wayne et son déhanché, beaucoup moins ). Dean Martin est pas mal aussi. C'est du classique de qualité.
10/20

"Le Gentleman d'Epsom" de Gilles GRANGIER - 1962
Je me suis ennuyé tout le long de ce film sur un prétendu champion des pronostics hippiques qui retrouve son vieil amour. Enfin, cette séquence était sympa, mais tout le reste du film est d'un ennui mortel...
3/20

"Le Rouge est mis" de Gilles GRANGIER - 1957
Un bon petit film de gangsters, avec encore Gabin et Ventura, mais aussi Paul Frankeur, Marcel Bozuffi et Annie Girardot, qui cause la perte de tout ce petit monde malgré elle.
8/20

"Chiens perdus sans collier" de Jean DELANNOY - 1955
Gabin en juge pour enfants, et l'histoire croisée de trois enfants de l'Assistance. Un bon petit drame réaliste.
8/20

"Echec au porteur" de Gilles GRANGIER - 1957
Où l'on suit les aventures d'un ballon emporté par des enfants et cachant une bombe. Y a une ribambelle d'acteurs ( Reggiani, Moreau, Meurisse ), de situations, mais c'est mal filmé, mal monté, mal joué. Ca a très mal vieilli quoi.
6/20

"Le Pacha" de Georges LAUTNER - 1968
Pour tout dire, je m'attendais plus ou moins à une comédie. Au lieu de quoi on a un polar froid et sans saveur, une quête de criminels. Ca tue à tout-va. Bon. Ca enquête. Bon. Ca croise le musicien fan de Gainsborough. Bon. Et puis y a plus de bandits et c'est fini. C'est pas parce qu'il y a une phrase un peu marrante d'Audiard - qui n'était pas fait pour les polars - que je vais m'enthousiasmer. C'est creux.
5/20

"L'Assassin habite au 21" de Henri-Georges CLOUZOT - 1942
Une bonne intrigue - c'est vrai qu'on cherche le meurtrier comme des benêts et que le dénouement est inattendu - de bons acteurs, un bon petit film plaisant, mais qui a très mal vieilli. La réalisation est vraiment horrible.
8/20

"La Folle ingénue" d'Ernst LUBITSCH - 1947
Ca fait vielle comédie lubitschienne, pourtant ça date de 47, bizarre. En tout cas c'est très léger, l'histoire est un peu faiblarde, il n'y a pas vraiment de quiproquos ou de malentendus habituels. En fait il ne se passe quasiment rien. C'est léger et élégant, mais sans fougue. Par contre, on ne boude pas d'admirer la belle Jennifer Jones et Charles Boyer en gentil romantique ( ça change de "hantise" vu dernièrement ). Ca se laisse regarder sans déplaisir, mais ça ne va pas très loin. Dommage.
9/20

"Quai des Orfèvres" de Henri-Georges CLOUZOT - 1947
Nettement mieux réalisé que "L'assassin habite au 21", j'ai pu davantage apprécier ( hormis un faux raccord de concours à la 16ème minute ). C'est une bonne petite enquête, avec ses petits rebondissements, son commissaire atypique ( Louis Jouvet ), son innocent jaloux persuadé d'être coupable ( Bernard Blier ), et les deux femmes au coeur de l'intrigue ( j'ai vérifié, Suzy Delair vit encore, 91 ans ). Bref, l'ambiance générale m'a plu. D'ailleurs le titre initialement prévu ( "Joyeux Noël" ) m'aurait plu davantage. Là je ne vois pas bien à quoi ça sert ce titre, pourtant si connu...
10/20

"La Flèche brisée" de Delmer DAVES - 1952
Un western qui se place du côté indien. J'avais beaucoup aimé quand j'étais ado, et je n'ai pas été déçu. C'est humain et juste ( il ne pouvait en être autrement avec James Stewart ). Une belle histoire d'amitié et d'amour, de rencontre avec un peuple, de dépassement. Malheureusement, ça finit là où beaucoup de films auraient commencé. Il manque une révolte, là on finit sur une sorte d'acceptation de l'injustice.
12/20

"Falbalas" de Jacques BECKER - 1944
Je m'attendais à voir une bonne grosse bouze ( je pensais voir une comédie dans le milieu de la mode, ça m'aurait sans doute gavé ), et en fait c'est un bien beau film, une belle histoire d'amour. C'est très bien réalisé, les personnages sont attachants, même le héros - malgré son côté lunaire qui engendre sa cruauté banale, on peut suivre et comprendre ses erreurs. Quant à Micheline Presle, je n'ai pas vu beaucoup de films avec elle jeune, mais elle avait un bien joli minois, une façon très douce de jouer. Bref, une suite d'actes manqués, mais le film, lui, ne l'est pas.
12/20

"Le Portrait de Jennie" de William DIETERLE - 1948
Pas loin du chef d'oeuvre. Un film sur l'Art, l'Amour, le rêve, qui commence dans New York en hiver, dans un superbe N&B. Dans un parc enneigé, le héros, un peintre paumé, fait la connaissance de Jennie, une jeune fille mystérieuse, qu'il recroisera par la suite, et dont il tombera amoureux. Ici le temps est aboli et réunis les deux amants au lieu de les séparer. Ils vont pouvoir vivre quelques instants l'intensité de leur amour, au-delà du monde et de ses énigmes, de sa réalité. La jeune femme, magnifique et triste à la fois, devient alors son plus beau sujet, la femme "modèle". L'artiste, trouvant l'amour, trouve enfin sa voie.
Il y a quelque chose de "Dorian Gray" dans cette histoire, de "Petter Ibbetson" aussi, et dieu sait que j'adore ce film. En parlant de dieu, le seul bémol ici, c'est la place laissée à la religion et à la foi. Ca m'a un peu gâché la deuxième partie. La fin aussi m'a un peu déçu. Peut-être aurait-il fallu une fin qui n'en soit pas une, mais là c'est un peu douteux pour qui n'a pas la foi, et le mystère est anéanti d'une manière un peu facile. Mais Jennifer Jones et Joseph Coten sont remarquables, amoureux, et leur bonheur malheureux me rappelle le mien et mes fantasmes ( mon scénar de BD par exemple ), Jennie aussi me rappelle un doux prénom familier, et l'actrice ressemblait étrangement à Alice, la dernière fille qui a bien voulu m'approcher. Bref, j'étais quasiment au pays des merveilles devant ce film fabuleux, où la musique empruntant à Debussy ses plus beaux thèmes ( La Mer, Nuages ) apporte encore plus de rêve et d'impressionnisme onirique.
15/20

"Maigret tend un piège" de Jean DELANNOY - 1958
Je ne me souvenais plus l'avoir déjà vu. C'est un bon petit film ( qui pourrait aussi s'appeler "Quai des Orfèvres" finalement ), avec Gabin, pantouflard, Annie Girardot très bien, et Jean Desailly en bébé à sa maman. Une espèce de prémisse à "Garde à vue".
9/20

"Le Jardinier d'Argenteuil" de Jean-Paul Le CHANOIS - 1966
Encore du Gabin, donc, et pas du meilleur. La fin, décidément, j'en retiens pas grand chose. Là c'est du vieux faussaire qui vit dans son wagon à peindre et à jardiner, puis qui rejoint son neveu sur la côte d'azur, où il croise un baron et le musicien fan de Gainsborough. A part ça, on a un peu de mal à se passionner...
4/20

"125 rue Montmartre" de Gilles GRANGIER - 1959
Un très bon polar avec Lino Ventura, totalement inconnu me semble t-il. Et c'est bien dommage, j'ai vraiment beaucoup aimé. Le scénario est très bien construit, on est bernés jusqu'au bout par un très bon Robert Hirsch, et on est ballotté comme le héros d'une incompréhension à une autre, jusqu'à l'arrivée de Dessailly, qui joue le commissaire. De bons dialogues, beaucoup de rebondissements, pas juste des interrogatoires comme dans les polars précédents. Un bon film à réhabiliter.
12/20

"Rue des Prairies" de Denys de la PATELLIERE - 1959
Un petit film agréable, avec plein de comédiens de la bande à Gabin, et des petits jeunes qu'on reverra par la suite ( Claude Brasseur, Roger Dumas, Marie-José Nat ). Mais pas grand chose à se mettre sous la dent, ni dans l'intrigue, ni dans les dialogues.
7/20

"Monsieur" de Jean-Paul Le CHANOIS - 1964
Une adaptation d'une pièce. En fait, le début est intéressant, il pourrait y avoir un grand polar sur l'idée de départ, mais on arrive très vite dans un film totalement différent, dans la maison de Philippe Noiret, et ça devient très quelconque, voire un peu chiant.
7/20

"La Porte s'ouvre" de Joseph MANKIEWICZ - 1950
Un bon film sur le racisme et la tolérance. Widmark est décidément très bon en mauvais garçon négrophobe, et Poitier très gentil en gentil médecin noir qui sauve des vies, quelle que soit leur couleur de peau. A noter la belle présence de Linda Darnell.
10/20

"Le Tonnerre de dieu" de Denys de la PATELLIERE - 1965
Encore un film mineur du sieur Moncorgé. C'est plutôt creux et rempli de bons sentiments, sans saveur. Même les rares saillies verbales sentent le réchauffé.
7/20

"Le Président" d'Henri VERNEUIL - 1964
Là ça va, c'est un bon film, avec un bon Gabin et un bon Bernard Blier. La trame est bien construite, avec les flahs-backs et la continuité du discours. Réalisation très classique. A noter le très beau travail de Louis Page au cadre, comme dans tous les bons films de Gabin des années 50 et de la première moitié des 60's.
10/20

"Les 39 marches" d'Alfred HITCHCOCK - 1935
Un très bon film, sans temps mort, sur un scénario parfaitement construit. Une réalisation sans faille, des scènes entre comédie et tension dramatique, c'est vraiment une réussite. Un film qui annonce "Jeune et innocent" et tous les futurs films de faux coupables traqués.
14/20

"Sabotage" d'Alfred HITCHCOCK - 1936
Un bon petit polar, avec une séquence très étrange pour l'époque ( Hitchcock regretta après coup ). C'est habile et sans défaut, un bon film.
12/20

"Waltz from Vienna" d'Alfred HITCHCOCK - 1934
Une petite comédie légère qui détonne chez le grand Alfred. Un Lubitsch aurait pu en faire un chef d'oeuvre. Ici, c'est agréable à regarder, mais ça n'a pas de saveur particulière. Un film de commande mal commandé quoi.
7/20

"Poisson d'avril" de Gilles GRANGIER - 1954
Avec Bourvil, Annie Cordy, Louis de Funès et Denise Grey. Un petit film sympathique, basé sur des petits quiproquos vaudevillesques. Le premier film que je vois avec Annie Cordy, presque charmante, et Denise Grey plus jeune, mais déjà vieille.
7/20

"La Horse" de Pierre GRANIER-DEFERRE - 1969
Eh ben c'est pas terrible. Une vengeance froide, un patriarche qui veut tout gérer par lui-même, et qui du coup rend la vie impossible autour de lui. Du coup, les trafiquants meurent, et sa fille se fait violer. Bon. Je vois pas trop ce qui ressort de bon de ce film.
6/20

"Le Bonheur" d'Agnès VARDA - 1965
Avec Jean-Claude Drouot et sa charmante petite femme. Un film où le bonheur est d'un emmerdement sans nom pendant une heure. Au final, la femme trompée se noie et on recherche une morale. Il n'y en aura pas. L'homme peut continuer sa vie avec sa maîtresse, un bonheur en remplace un autre, comme si rien ne s'était passé. Bref, bizarre.
5/20

paris

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